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 Nothing ever last forever - ANDREW L. COLLINS

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MessageSujet: Nothing ever last forever - ANDREW L. COLLINS   Nothing ever last forever - ANDREW L. COLLINS EmptyDim 3 Mai - 2:35


Les fenêtres étaient ouverte, chacune d’entre elles, afin de faire passer un petit courant d’air. L’odeur était insupportable, cinquante années avaient passé depuis que quelqu’un avait ouvert la porte d’entrée, si un jour quelqu’un aurait dit à Savannah que ce serait elle sa réaction aurait été de rire. Elle ne voulait certainement pas retourner en Amérique de toute sa vie, mais c’était désormais une mission, alors elle devait vivre dans ce vieil appartement quelque peu miteux qu’avait acheté HYDRA il y a de longues années de cela. L’endroit avait tout d’un appartement de communiste, aucune décoration, même pas de photos aux murs. Ce n’était qu’un taudis ayant servit de chambre pendant la guerre, rien d’autre et ça même un aveugle aurait pu le deviner. La blonde s’asseyait sur le seul et unique lit en fixant la petite radio qui était venu au monde bien avant elle. Drôle de retournement de situation pour une femme ayant fuit le pays pendant des années que de devoir y retourner et certainement y mourir. Enfin après le boulot c’était le boulot non? Du bout des doigts elle allumait l’appareil pour voir s’il captait encore quoi que ce soit au milieu de la technologie. Étrangement une musique sortie doucement, bien qu’elle était brisé en morceau par la mauvaise réception, on pouvait tout de même entendre une douce balade d’une époque bien reculé. Bobby vinton et mr. Lonely…Un des classiques ayant prit naissance alors que Savannah n’était plus de ce monde, pourtant en l’entendant elle souriait doucement. « Now i’m a soldier, oh a lonely soldier » résonnait dans le petit appartement alors que boucle d’or enfilait son manteau de coton d’un blanc éclatant.

Cette ville était si grande que Savannah aurait pu s’y perdre et mourir sans que personne ne la retrouve. Ça lui rappelait ses années à St-Petersburg, technologie et moins de communiste en supplément bien sûr. Des voitures bruyantes, des odeurs de pisse, des ivrognes, décidément les Amériques n’avaient jamais changé. Ce n’était pas des grands écrans de télévisions qui allait changer quoi que ce soit à cette endroit. Plus la femmes aux longs cheveux blonds marchait dans cette ville, plus elle se rappelait pourquoi elle avait voulu quitter cet endroit. C’était surtout le caractère, l’attitude de la population qui la mettait dans tout ses états. On assumait simplement que notre voisin était un pauvre fou, sans jamais lui adresser la parole, alors on ne lui souriait pas. Appelez cette femme vieux jeu, mais b*rdel ça les tueraient de sourire aux aînés? Pas qu’elle était une vieille femme, non surtout pas à son âge et que personne n’assume autrement, mais elle aurait bien aimé avoir le respect grandement mérité. Rien. Que des airs tous aussi bête les uns que les autres, reflétant si bien leur pays tant adoré, cela ne faisait qu’augmenter la rage que Savannah entretenait pour le pays. Ça en prenait peu pour la mettre en colère, surtout dernièrement, mais il ne fallait pas le cerveau de Marilyn Monroe pour savoir que c’était le retour au pays qui la fâchait. Sérieusement ça aurait tué Hydra de la laisser en Europe?

Assise sur un banc dans le musée ses yeux, dont le vert ainsi que le bleu reflétait les plus belles couleurs de l’océan, ne pouvaient cesser de fixer les mémoriaux. Tous ces héros de guerre qui avaient perdu la vie étaient remémoré dans cet endroit, c’était presque touchant de voir leur sourire sachant qu’aujourd’hui ils n’étaient plus que des tas de cendre. Pourtant, Withmore n’était certainement pas dans le musée pour rire des soldats morts, non elle devait absolument savoir tout ce qui s’était produit après 1951. Assise, elle admirait pour le moment, il y avait beaucoup trop de gens pour qu’elle soit a l’aise.
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MessageSujet: Re: Nothing ever last forever - ANDREW L. COLLINS   Nothing ever last forever - ANDREW L. COLLINS EmptyDim 3 Mai - 4:48

La nuit avait été rude. « Rude mon cul ! » S’empressa de dire Giggles depuis le canapé où il s’était vachement affalé pour pourrir tel un cadavre. La porte de son « placard » était ouverte; une chambre où était entreposé les victimes du dégénéré.

Hier soir avait été une grosse journée, ou plutôt soirée, il avait violé, une fois de plus, une jeune prude innocente qui n’avait absolument rien demandé, et la soirée avait dérapé sans vraiment le vouloir, Giggles l’avait sans doute tuée avec ses drogues plus périmé que le lait écrémé « Ça reste du lait ».

Et il avait fini par ramener la victime dans la chambre, sans vraiment penser à refermer la porte, l’odeur enivrante que dégager la chambre avait tué un ou deux chiens de la rue pendant la nuit. Une fois de plus, cela avait montré l’inconscience de Giggles.

Mais cela n’avait pas été la seule chose qui c’était passé pendant la folle soirée du mercenaire. Non, il avait eu un contrat qui avait tout simplement dérapé, ou devrais-je dire foiré. « Pas ma faute, y’a un putain de nazi qui s’est fourrée dans le contrat, je n’ai pas pu finir de toucher…Je veux dire tuer ma cible. Quelle nana. »

Donc la fin de l’histoire avait été que Giggles s’était empressé de tuer le client, le contrat et plusieurs dizaines de victimes.

Le contrat en question était tout simple : Tuer une femme infidèle qui trompait son mari. Rien de plus difficile, mais comme à son habitude, les choses ne s'étaient pas passé comme à l’accoutumé.

Ce n'était pas une surprise pour autant, et puis, il fallait aussi que le con mette son poireau n’importe où et que le client rentre dans la chambre au même moment, l'histoire à tout simplement dégénéré. L'action s'étant déroulé dans un hôtel comblé de témoin, les victimes de Giggles.

Franchement personne n’aurait pu faire plus simple. « Je te sens bien négative. » N’en rajoute pas… Et Giggles finit par rentrer chez lui après être allé liquider tout le pognon qu’il avait misérablement volé à son client, mort. S’endormant ensuite dans les bras de Morphée. Mais Madame bonheur la chance lui offrit un onéreux client.

Quelqu'un toqua à la porte et Giggles immergea de son sommeil, qui avait abouti à une légère catastrophe, son caleçon débordait. « Oh merde » Gémit l’enfoiré en se glissant sur le sol pour commencer à vraiment se réveiller.

Le brun rampa tel un con sur le sol pour arriver jusqu’à la porte, il ouvrit dans les plus brefs délais, encore la tête dans le cul...Et sur le sol. La mystérieuse personne s’attendait à voir quelqu’un de face et non de retrouver un homme assis encore dans les vapes, surprise, elle baissa la tête.

« Bonjour. Êtes-vous Giggles le mercenaire ? » Prononça-t-elle finalement, le son de la douce voix de la femme fit faire à Giggles le relèvement immédiat.

Refermant immédiatement la porte. Qui aurait cru que l’appartement aurait été si propre quand il rouvrit à l’étrangère. « Que puis-je faire pour vous chère madame ? »

La faisant entrer automatiquement, il jeta un long regard noir à son placard interdit pour voir, ou entendre, si ces victimes mortes ne feraient pas de bruit pendant sa discussion.

Une anglaise, c’en était une, sur et certain, ses mouvements, ses gestes, sa façon de parler. Giggles aimait les anglaises, enfin depuis maintenant.« Donc que puis je faire pour vous ? » Reprit-il une fois assis et en état de l’écouter jusqu’à la fin, ce qui n’aurait pas été difficile s’il arrêtait de regarder cette foutue porte.

« Je… » S’arrêta-t-elle pour commencer à tourner la tête vers la chambre, replongeant lentement la tête vers le mercenaire elle continua.

« Je voudrais que vous voliez un objet pour moi. C’est dans vos cordes ? ». Giggles eût un temps d’absence. Voler ? Voler quoi ? Je peux voler ton cœur baby !? Arrête de raconter des inepties, ce n’est pas le moment. L’argent en premier. Ensuite la femme.

« C’est tout à fait dans mes cordes. Je sais tout faire. Même le ménage, mais là on ne parle pas de ménage n’est ce pas ? ». « Non. Nous ne parlons pas de ménage. Mon offre est donc la suivante : Je vous donne 50 miles dollars et vous me volez un simple bouquin ».

La tête de Giggles se déforma par l’ébahissement totale. Un simple bouquin pour 50 miles dollars !! Oh bon dieu ! Ah quand j’ai attendu une telle offre.

Bien sur les risques encourut serait simplement et purement plus compliqué qu'il ne l'aurait cru, mais ça, il ne le savait pas encore. « Et. Ce bouquin. C’est quoi. Y’a un titre ou un truc du genre ? Il est où ? »

C’est les questions essentielles. Poser simplement les questions essentielles. « Eh bien il n’a pas de nom. Le livre parle d’avant et après 1951, plus précisément des grandes et des petites lignes de l'histoire des américains, des choses importantes pour les Américains…Je m’emporte. C’est un ouvrage précieux pour moi. Ma famille y tient particulièrement. »

Giggles n’avait pas retenu un traitre mot de son baratin. Seule sa bouche le préoccupait. Combien j’aimerais tremper dans sa bouche ? « Et il est où ? » Reprit-il, toujours fixer sur sa bouche.

« À Brooklyn. Au Museum. Vous le verrez, il est entreposé tout au fond du musée dans une vitre renforcée, malheureusement je ne m'y connais pas dans ces choses là. »

Oh bordel, pense d’abord à l’argent. Le contrat ne semble même pas dangereux. « D’accord. J’accepte » La cliente fut tout abord surprise par cette acceptation rapide et irréfléchi.

Elle se demandait même s’il était vraiment mercenaire ou tout simplement stupide, mais bon, tout ce qu’elle voulait était le livre et rien d’autre, ça se voyait sur sa tête de brunette. Et Giggles était assez con pour croire qu’il n’y aurait aucun danger.

Elle s’en alla en laissant une adresse et la moitié du montant pour subvenir aux prochains besoins du mercenaire. Giggles se prépara vissa pour sortir et aller faire une petite promenade dans Brooklyn. Sifflotant son air habituel et démesuré, il rentra dans un bar-café pour demander un « service ».

Mais seule la porte rencontra son visage, après que le patron du bar lui ait dit ces quelques mots : « Va te faire foutre Giggles ! La dernière fois que je t’ai demandé un service, tu m’as tiré une balle dans le genou. Et ô grand dieu, s’il y en a un, que si tu n’avais pas une peau comme la tienne, je t’aurais mis une balle dans la tête !!! »

La porte se referma dans un fracassement des plus inexplicables. Giggles l’insulta de tous les noms avant de reprendre sa route, il voulait juste un marteau, quoique sa force puisse venir à bout de la vitre doublement renforcé qu’avait d’écrit la jolie brunette, mais il ne voulait pas utiliser ses poings. Allez savoir pourquoi.

Après plusieurs minutes à marcher dans cette foutue cambrousse de bouseux, selon les propres mots de Giggles, il finit par arriver dans le musée. « Geuh…Trop de monde…Trop de monde… ». Le mercenaire n'aimait guère le monde, ils finissaient toujours par lui casser les pieds et l'empêcher de faire son boulot.

C'était d'ailleurs pour ça qu'il avait fini par se foutre des dégâts sur les civils, chose qui ne l'affecter pas pour le moment. Un bouseux de campagnard passa près de lui, le bousculant au passage. Ce fut la raison pour Giggles de déclencher la bagarre et ainsi de faire déguerpir pas mal de monde.

« Tu m’as bousculé ! » Hurla t-il sur l’innocent qui ne comprit rien sur l’instant, jusqu’à que le mercenaire lui saute à la figure pour le battre à mort. Et l’effet voulu arriva, les gens prirent peurs, certains partir, d’autre regardèrent abruptement la scène.

« Monsieur, je vais appeler la sécurité ! » annonça l’agent de sécurité qui tenta désespérément d’arrêter Giggles. « T’attend quoi pour l’appeler ? Je ne la vois pas ta cavalerie !! ». Bam ! L’agent se retrouva finalement à terre. Et le cinglé cria comme un déjanté pour faire fuir le reste des civils.

Il se tapa les mains quand il ne vit plus personne sauf une belle blonde dont il n’avait pas vraiment le temps à s’occuper. « Bon ben maintenant je suis tranquille. Trouver le bouquin merdique avant de me taper la brunette.»
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MessageSujet: Re: Nothing ever last forever - ANDREW L. COLLINS   Nothing ever last forever - ANDREW L. COLLINS EmptyDim 3 Mai - 20:05

Combien de temps cela prendrait-il avant que la place soit vide? Une heure, trois heures, plus? C’était si difficile de calculer pourquoi autant de gens avaient intérêt à être présent soudainement. L’histoire n’avait jamais été passionnante, c’est pour cela qu’elle n’est que du passé, pourtant des centaines de gens venaient d’avoir une piqure d’historien. C’était presque un virus, cette soif de connaissance qu’ils partageaient tous, alors qu’il n’y avait rien de plus à savoir que ce qui était déjà écrit sur les pages de la vie. Un sourire, c’est tout ce qui s’affichait sur le visage de Savannah, impatiente que la foule se dissipe. Elle entendait les murmures des gens qui prisaient une partie du musée en particulier, la salle de capitaine America, ce qui la faisait un peu rire. Bien sûr qu’elle en avait entendu parler, qui n’en avait pas entendu parler, il avait causé la chute du crâne rouge. Se dire qu’elle aurait peut-être la chance un jour de rencontrer le dit héros et qui sait peut-être même l’infiltrer si la chance lui souriait était un bonheur. Vous imaginez un peu la scène? Hydra qui mets la main sur un des pire salop*rd de l’histoire?

Elle aurait pu rester là, jouant avec la pointe de ses cheveux glissant ses doigts sur chaque petit bout, mais quelque chose ou quelqu’un fit bouger la foule en panique. Un homme par terre venait de mourir aux mains d’un pauvre cinglé, enfin pauvre jusqu’à preuve du contraire, le gardien de sécurité vint pour l’aider. Trop tard, beaucoup trop tard, leur combat ne durait que quelques secondes avant que le gardien se retrouve au sol près du nouveau cadavre, décidément son réveil allait être douloureux. Détournant la tête pour rire sous capes, elle fut la seule qui ne bougeait pas d’un pouce tendis que tout le monde s’enfuyait en peur. Savannah avait vue pire, bien pire, pendant la guerre alors un con qui savait se battre n’allait certainement pas lui dresser le poil sur les bras.

« Les bouquins sont dans l’autre section, ici c’est le mémorial de la seconde guerre, viens. » dit-elle comme si rien n’était en se relevant. Il avait marmonner avoir besoin de livre alors Savannah avait tout simplement répondue car elle était polie. Pour ce qui est de son choix d’adjectif concernant les livres présent dans le musée, elle n’y ferait aucun commentaire, encore moins sur son marmonnement de brunette. Ce n’était pas sa responsabilité de toute façon. Ses talons résonnaient désormais sur les dalle de marbre, ce n’était pas le cas quand la foule était présente, s’en était quasi satisfaisant. Le calme, le silence, la paix, ô que madame Withmore adorait cela. Elle entrait dans la salle dédié à Capitaine America, décidément ils avaient tout changer depuis sa dernière visite, le bouquin était donc dans une autre pièce. Puis Savannah avait omis de regarder derrière elle si le cinglé l’avait suivit ou pas. Enfin, après elle n’était pas là pour lui montrer le chemin, il pouvait se débrouiller seul comme un grand. Elle n’avait pas refuser d’être mère pour se trimballer un gamin si vous voulez son avis.

« Comme c’est calme, autant prendre ce pourquoi je suis venu, ce n’est pas moi qui va prendre le blâme de toute façon. » Exactement ce serait l’autre idiot qui se prendrait les feux du projecteur. Savannah, elle, allait être parfaitement anonyme. Comme toujours, l’ombre lui allait si bien, c’était plus facile de se déplacer de cette façon.  Du bout des doigts elle touchait la vitrine protégeant exactement ce qu’elle désirait, étrangement dans la section dédié au héros mentionné ci-haut, mais bon qui était-elle pour discuter de l’arrangement d’un musée. Oh oui, la secrétaire, une femme extrêmement bien organisé et qui grinçait des dents quand elle voyait à quel point les gens ne savaient pas classer leur documents. Maintenant c’était de briser la fameuse vitrine pour y prendre le bouquin, tirer les informations disponible ainsi que les grandes date et recommencer à organiser ses dossiers d’information. Elle n’avait pas le choix, si il lui fallait infiltrer elle ne devait pas ressembler à un poisson rouge ignorant tout de l’histoire américaine sinon bonsoir la couverture! Que ce soit mentir sur son emploi; journaliste, professeur d’histoire, secrétaire dans une bibliothèque d’école  ou encore simplement pour inventer une histoire la connaissance était nécessaire. Appeler la perfectionniste, mais Savannah ne pouvait pas débuter sa mission sans ce livre. Le plus simple aurait été de fracasser la vitre, mais l’alarme aurait retentie et le temps était déjà assez serré ainsi. La police allait débarquer pour arrêter l’individu, elle se ferait passer pour une victime, ensuite direction la maison pour remplir sa tête de nouvelles dates. Bon, les caméras posaient quelques problèmes, mais la blonde assumait qu’Hydra viendrait à sa défense en cas de problème tel un chevalier sur sa pieuvre…rouge à tentacules? Ouais, faudrait revoir pour le chevalier.

« On va y aller délicatement, ça va tout régler… » grinçait-elle entre ses dents en cherchant une façon de relever la vitrine de sa position. «  Le service ménager doit bien pouvoir l’enlever » se disait-elle en cherchant encore un peu. Est-ce qu’elle avait oublié la présence d’un fou meurtrier? Je vous admettrais que quand elle se retrouve concentrée sur quelque chose le monde s’efface autour d’elle. La réponse était donc; oui.
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MessageSujet: Re: Nothing ever last forever - ANDREW L. COLLINS   Nothing ever last forever - ANDREW L. COLLINS EmptyDim 3 Mai - 21:40

Le temps avait semblé se figer un instant. Le temps qu’Andrew se repaire dans ce foutu musée, il détestait ça, les musées. Et les hôpitaux. Tous ce qui avait le même air. « Et merde. » Ronchonna t-il. Il ne lui restait pas longtemps avant que les flics se ramènent, et bien qu’il adorait se manifester partout juste pour dégommer du civil et autre personne les plus connes et inutiles au monde.

Cette fois-ci il voulait faire vite, et éviter de perdre du temps. Après tout, la brunette passait en deuxième, mais il fallait qu’il trouve ce rayon de livre pour les jeunots pré-pubert et autre mec qui n’avait aucun avenir, c’est ce que ce disait Giggles. De toute façon, il détestait les livres, la culture et autre merde de ce système américain. Tout comme les héros.

Les seules choses qu’il arrivait à blairer sans être trop pessimiste c’était les héroïnes, ça, il aimait. Comme Nat’, cette rouquine qui avait un corps de rêve ou encore Spider-Woman, ou encore...Enfin bref, toutes les supers héroïnes. « Tu sais que quand tu dis supers héroïnes, ça me fait penser à la drogue que je prends. » La ferme..

Il finit par se reprendre et rechercher la dite chose : Un bouquin de 1951…Sûrement une histoire merdique des américains. « Mais je suis américain ! » Râla t-il en répondant à ses conneries habituelles. Et finalement la blondinette s’était décidé à bouger, à lui montrer le chemin, ou quelque chose du genre.

Giggles ne se fit pas prier et, avec un alléchant merci, il la suivit. Bavant sur son joli petit fessier. Elle marchait gracieusement, ce qu’il aimait d’ailleurs, mais pas que ça en faite. Entendre le son de ses pas lui fit oublier quelque instant le contrat de la brunette, mais l’anglaise passera avant, ou du moins c’est ce qu’il essayait de se convaincre.

Il finit par détourner le regard pour observer les alentours, des hommes en armure, des vieilleries américaines et autres saloperies inutiles. Un certain besoin de destruction lui monta à la tête. Giggles secoua violemment la tête pour se concentrer, ce n’était pas sa qualité première, s’il en avait une première.

Mais le mercenaire, muni d’un sens d’orientation plus que déplorable, se perdit sur le chemin, personne n’aurait pu savoir comment. Ni Giggles…Ni moi. « Pas ma faute, je regardais ailleurs. Bordel de merde, ce musée c’est un putain de labyrinthe ! ». Monsieur je-me-perds-aussi-facilement-qu’une-vache-dans-la-cambrousse râla de ses habituelles injures.

Malgré tout, il trouva quelque chose d’intéressant, un trombone de l’ancien régime des anglais. « Ouah ! J’ai toujours rêvé dans utiliser un !! Mais que fou un truc d'anglais dans un musée américain ??» Fuck la logique.

Le cinglé gloussa comme un enfant. Mais le problème était là. « Où sont ces putains de balle !? » C’était ça le problème. Le musée avait sans aucun doute gardé la poudre et les balles qui allaient avec, pour des démonstrations ou quelque chose du genre.

« Enfin bon. J’ai l’arme, les balles sont pas un souci. » Abandonnant l’idée même de trouver une foutue poudre à canon, il se mit à rechercher la jolie blonde qui devait l’accompagner aux livres du musée. Et Giggles était fort pour retrouver les minettes, peut-être sa qualité première, à moins que cela soit un défaut pour les autres.

Une voix familière lui montra le chemin, et le voilà dans la même salle que la blondinette, c’était dédié à Captain. « Mon bon vieux Captain. » Se mit-il à dire, l’air désespérer. « T’es toujours mort pour eux. » Reprit-il en rigolant dans sa barbe, puis il s’orienta vers la vitrine qui contenait le mystérieux livre qui n’avait aucun titre, apparemment l’inconnue était, elle aussi, intéressée par ce bouquin.

Il se gratta la tête, cela risquait de se compliquer. Une anglaise qui me donne son corps et son argent pour un simple livre. Ou une jolie blonde qui pourrait me donner bien plus. Quel choix ? J’en frémis de plaisir. Mais une idée survint dans sa tête. Si elle voulait le livre, il y avait une façon pour l’avoir tous les deux.

Depuis quand Giggles était si intelligent ? Ou alors c’était de la bêtise transformé en intelligence ? Allez savoir. Il disparut une fois de plus dans les couloirs du musée sous les regards interrogateurs de la jolie blondinette. « Où est ce que j’ai vu ça moi ? » Que cherchait t-il ? Il se retrouva dans une salle où se tenait l’objet voulu.

« Ah ! Il est là le con ! » S’écria joyeusement Giggles en emportant la machine avec lui, ou plutôt il la glissa jusqu’à la salle voulut. « À ce que je vois, tu es aussi intéressé que moi par le bouquin. Enfin comme tu peux le voir je ne suis pas un amoureux des livres, ni des musées. Faisons un deal. Je t’imprime ton merveilleux livre et je prends l’originale. Sinon on en viendrait à…Un léger problème. » Proposa t-il en tapotant le merveilleux scanner qu’il avait emprunté dans la salle voisine. « Je te casse même la vitre et je porte le chapeau. J’en ai l’habitude. »

Puis, soudainement, il se mit à rire, hors contexte, c’était toujours quelque chose comme ça. « Tiens en parlant de livre, tu sais que ton symbole me rappelle le titre d’un livre que ma créatrice lit, un livre RPG, ce genre de merde si tu vois ce que je veux dire. Enfin tu dois rien comprendre parce qu’on est dans une histoire et tu dois te demander : Mais de quoi il parle ? Et moi je te réponds : Tu sais le symbole d’Hydra ! Ouais je sais, je suis fou, et je ne dois pas savoir ce genre de chose parce que…Eh bien on est dans une histoire et je ne peux pas lire dans tes pensées… »

Il s’arrête un instant avant de reprendre son souffle. « Fais comme si t’avais rien entendu, j’ai fait juste une parenthèse sur ce que j’avais en tête. Les auteurs disent que ça s’appelle « briser le quatrième mur ». Donc dans ta réalité à toi je ne sais pas que tu es…Enfin bref, je me suis compris. Je vois bien que tu es perdu…Oublie tout simplement. » Désespéré par le cas de la blonde, il finit par abandonner d’expliquer ce qu’il venait de dire.
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MessageSujet: Re: Nothing ever last forever - ANDREW L. COLLINS   Nothing ever last forever - ANDREW L. COLLINS EmptyLun 4 Mai - 2:39

On entendait le fond sonore, les petits films du capitaine, la voix d’un homme expliquant son sacrifice pour l’Amérique. C’était presque divertissant en y repensant, enfin ça aurait pu l’être si notre jeune femme n’était pas dans un temps limité pour accomplir son devoir. Elle aurait pu rester et écouter, peut-être même qu’elle reviendrait alternativement, mais pas quand il y avait autant de gens. Tous patriotiques ne prenant que la version des faits des américains, beaucoup de mensonge si vous voulez l’avis de la secrétaire, mais c’était les gagnants qui écrivaient l’histoire et non le contraire. «  Si ça continue je vais prier sésame que tu t’ouvre » marmonnait Savannah à l’intention de la vitrine. Elle n’avait aucune ouverture visible, pas même pour y mettre une clé, ce qui rendait vraiment toute chance de sortir avec ce qu’elle désirait quasi impossible.

Les secondes commençaient à s’écouler si vite que s’en était étourdissant. Combien de temps avant l’arrivée des autorités? Maximum dix minutes, dépendant du trafic et de la rapidité qu’aurait les gens pour appeler les secours. Finalement il aurait peut-être été préférable qu’elle agisse pendant qu’il y avait encore une foule non? Peut-être? Sa voix, elle avait un effet de surprise, elle fit sursauter Savannah. Le cinglé se parlait à lui-même, mais ses marmonnement distrayait beaucoup trop la femme d’Hydra pour qu’elle puisse se concentrée. Il parlait de […] enfaite non elle n’avait aucune de ce qu’il pouvait bien dire dans son coin. Il faisait des allés et venu, il n’était pas stable physiquement, ça reflétait bien sa personnalité. « Mais …» Pas le temps de prononcer sa phrase qu’il disparaissait aussi vite. Passionnant ce mec! Il tuait quelqu’un, provoquait sûrement des dommages psychologique et physique à vie à un gardien de sécurité et ensuite il partait comme ça sans un avertissement. Peu de chose avait le don de surprendre une calculatrice, outre l’impossibilité total de calculer, organisé ou même comprendre le comportement de quelqu’un. Celui-là si un jour on l’affublait à Savannah, elle refuserait son dossier, juste à le voir aller il devait être un vrai calvaire. Pas besoin de le connaitre pour le savoir, sincèrement, un cinglé le jugerait de cinglé. Pas de temps à perdre sur cette personne, aucune seconde à laisser passer, elle devait se dépêcher. C’était tellement compliqué de se concentrer sous le stress, il y avait vraiment longtemps que notre blonde n’avait pas eu d’adrénaline, ça lui montait très doucement jusqu’à la tête.

Comme Savannah avait presque trouver une solution à son problème, qui était passablement de briser la vitre et s’enfuir, son nouvel ami refit son apparition. Super, pensait-elle, j’avais justement besoin d’un témoin. Retournant son attention vers le jeune homme, elle haussait un sourcil devant ses affirmations, ne sachant pas tellement si elle devrait ou pas le prendre au sérieux. «  D’accord, mais comment imprimera tu un livre de plus de dix milles pages en environ […] » Elle donnait un regard interrogatoire à sa montre sur son poignet avant de claquer ses doigts à sa propre surprise. « […]Moins de quatre minutes, car les autorités arrivent et je ne crois pas que tu es prêt à porter le blâme devant passablement l’arsenal s’ils apprennent que notre ami ‘’tu m’as bousculé’’ est mort. » Sourire aux lèvres, non sans sadisme, elle regardait le jeune homme s’attendant à une quelconque réponse. Peu importe, le choix de notre secrétaire était fait, elle s’enfuirait avec le bouquin. Pas question de faire confiance à un gamin, encore moins un gamin qui n’avait aucune idée dans quel beaux draps il venait de se foutre.

Puis il parlait et parlait et parlait et parlait. Tout ce qu’il dit, chaque mots, sonnèrent comme un charabia aux oreilles de Savannah ce qui en soit la fit un peu paniquer. Elle était désorientée, ça ne lui arrivait jamais, c’était une première. « PEU IMPORTE! » Dit-elle pour casser complètement quoi que ce puisse être. « Je ne peux pas te faire confiance, on a pas le temps de refaire ce livre, prend le blâme si tu le souhaite. Moi, je prend le bouquin.  » Se retournant vers la vitre, elle plongeait dans son sac a main pour y trouver son petit revolver, son bon vieux compagnon qui avait fait la guerre à ses côtés. Un coup suffit pour voir qu’elle…avait oublié de le charger ou que quelqu’un avait toucher à son jouet entre 1951 et 2015 ce qui en soit était un sacré laps de temps. Retournant la tête, elle s’exclamait simplement «  Je pense que finalement on va en venir à un accord toi et moi […] » On entendait les sirènes de police au loin. Voilà…cinq minutes et ils étaient tous les deux cuit comme de la rôtisserie.

« [...] Et si on l’imprimait ailleurs? C’est gagnant-gagnant, on a tous les deux décidément besoin de l’ouvrage pour des raisons bien différente. Tu t’occupe d’eux, je mets l’ouvrage en sécurité et ensuite on s’arrange ensemble?  » L’adrénaline, le stress, la peur, les frissons…B*rdel que Savannah détestait la pression!
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MessageSujet: Re: Nothing ever last forever - ANDREW L. COLLINS   Nothing ever last forever - ANDREW L. COLLINS EmptyLun 4 Mai - 6:40

Le mercenaire déglingué continua dans son jargon diabolique qu’était de parler sans vraiment reprendre son souffle. C’était vraiment un emmerdeur quand il se mettait à parler et à se faire des monologues tout seul. En faite pour lui, c'était plutôt marrant de se parler à lui-même, c’est ce qu’il se disait en voyant que les gens flippaient quand il commençait à faire ça.

Mais là, ce n’était pas le temps à la discussion. Sans plus tarder, il finit par s’arrêter un minimum pour, un temps soi peu, réfléchir. Les flics allaient débarquer dans une dizaine de minute, peut-être moins, peut-être plus, mais il savait qu’ils allaient venir. Combien de fois cela c’était-il produit ?

Une trentaine de fois, en tout cas quand il ne voulait pas perdre de temps, et ô grand Giggles qui n’aime guère être patient, ce n’était pas son fort de toute façon. Et dans ces trente cas environ, il avait toujours fait fuir les policiers, c’était un malade, quelqu’un qui se fichait de ce qu’il pouvait faire, d’ailleurs c’était une chance que sur tous ses « débordements », il n’avait jamais eu de super héros à ses trousses, si, quelque fois, mais ils ne pouvaient rien  y faire, même pas l’enfermer, ou quelque chose du genre, après tout il était quelqu'un de résistant et il finissait toujours par se sortir de ses boulettes, devrais-je dire connerie.  

Mais il avait aidé les supers-héros d’un autre côté alors peut-être aussi c’était pour ça qu’il n’envoyait pas la grande cavalerie. On parle surement de Fury. Il gardait une marge d’avance, malgré son état mental assez déséquilibré. La jeune blonde se sentait oppresser par Giggles, c’était une boule dans le cou, quelque chose du genre, bien que ce n’était pas la première fois que Giggles mettait les gens à bout de cette façon, qu’il les stressait par sa présence ou qu’il les rendait… « Soucieux ? Distant ? Complètement paranoïaque ! » S’énerva subitement Giggles qui se reprit de son grand sourire.

Pour fondre en larme. « Je ne sais pas pourquoi mais j’ai envie de rire. » Quel idiot, il n’y a pas de matière à rire ! M’en fou ! J’en ai envie, c’est quand je m’ennuie. Et là…Je m’ennuie. Il frappa dans ses mains pour se reprendre. Puis la proposition de Giggles fit réagir la blondinette.

Sa voix si sensuelle et pourtant stressée par le temps et la venue incertaine des flics, j’adore. Giggles gloussa sous sa pensée. « Comment j’imprime ça en cinq minutes ? Eh bien je l’imprime. Okay, d’accord, ce n’est pas perspicace mais je ne peux pas te le chier comme ça. Faut déjà le rentrer dans cette foutue machine. J’avais oublié de te dire que je n’aime pas la technologie. Eurk…Une vraie horreur. » Lui répondit le dégénéré dans son habituel monologue de fou. La question était : Mais comment il pouvait enchainer les phrases comme ? Il a deux poumons en plus ? « Ey ! Je suis un humain ! Rien de plus normal. » Stoppa Giggles en continuant son discours.

« Et puis, je suis près à porter n’importe quel blâme pour une aussi jolie poupée que toi. Tu me crois con hein ? Je le suis…Ou plutôt je suis fou. Mais là, on s’attaque à une autre affaire. Et ne t’inquiètes pas mon corps m’a protégé de bien plus que des balles de flics pourris, enfin pourris dans le sens que je n’aime pas les flics alors ils sont pourris mais ça tu l’aurais peut-être compris si je n’avais pas fait plus compliqué ou si j’avais utilisé un synonyme. Mais en faite, je n’avais pas de synonyme alors ben j’ai dis flics pourris… Okay je me tais. » Finit par se taire Giggles en voyant la mine de la jeune blondinette, sa panique se faisait sentir dans la salle, l’atmosphère pesante rendait Giggles plus tendu, mais à croire qu’il ne le montrait pas, il gardait toujours ce sourire aux coins de sa bouche pour attendre que la jeune femme trouve une solution, elle n’en trouvera pas…

Il ne lui reste plus beaucoup de temps. Finissant par craquer. Elle sortit de son sac un revolver. Et dire qu’elle compte briser la vitre avec ça. Le mercenaire aurait voulu l’avertir mais apparemment, les balles manquaient. « Comme mon Trombone ! » Annonça t-il, le trombone encore en main. Puis elle se tourna vers lui, il sourit grandement, de toutes ses dents.

« Tic-Tac. Tic-Tac. Les secondes s’écoulent. Il faut réfléchir. » Giggles n’arrangeait pas les choses. Mais la décision fit qu’elle fut d’accord. Mais comment faire confiance à une telle inconnue ? Pas que sa beauté empêchait Giggles de lui dire oui et tout et tout, mais il n’avait aucun crédit qu’elle revienne pour lui donner gentiment le livre.

« Eh bien, je suppose que la situation oblige à…Une confiance forcée. Il me semble que tu tiennes beaucoup à ton arme. Donne la moi. Je te la rendrais en temps convenu. Si tu y tiens bien sûr. Sinon je pourrais toujours annoncer la venue d’une jolie femme et faire son portrait robot… À la police bien sûr. » Décision prise, elle y était forcée de toute façon.

Giggles la fit reculer un instant avant de se positionner face à la vitre. « Quand on y est. On y est. » Annonça t-il avant d’exploser la vitre d’un magnifique coup de poing. Sa force de surhomme ne l’avait jamais quitté. Qu’est ce qu’il aimait ça. Il prit le bouquin et le regarda quelque instant avant de le donner contre nature à la jeune femme.

« J’espère que je ne le regretterais pas. Jeune dame. Disparaissez avant que quelqu’un ne vous vois. Retrouvez-moi derrière le musée dans trois jours, le temps d’évaporer les faits. Si vous n’y êtes pas, attendez vous de voir une affiche avec votre visage sur tous les plans de la ville, pas que ça m’enchante de faire ça à une si jolie blonde. J’ai une très bonne mémoire en passant. »

La mystérieuse complice s’en alla dans les plus brefs délais pour que les forces de polices pénètrent dans le hall afin d’arrêter le psychopathe. Giggles arriva, lui aussi, dans le hall, afin de les divertir du mieux qu’il pouvait. Levant les bras de joie. « Bonjour mes petits poussins ! J’espère qu’on va s’éclater pendant ces petites minutes. Vous savez je vous ai attendu longtemps. Je suis triste par votre manque de dévouement pour la patrie. Au contraire de Mon Captain qui aurait même pas mit une seconde avant de venir ici…Mais je ne le vois pas alors il n’y a que vous et moi. » Le rire déjanté de Giggles fit frémir les agents de l’ordre. Il n’y avait pas plus fou que Giggles, enfin si… Mais dans le musée, le seul fou était Giggles.
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