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 La Véritable Histoire des Macchabés de Giggles

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MessageSujet: La Véritable Histoire des Macchabés de Giggles   La Véritable Histoire des Macchabés de Giggles EmptyMar 5 Mai - 0:47

Cette fameuse histoire. Oui moi aussi j’ai envie de l’entendre. « Ouais mais t’es un peu en train de l’écrire » Oh toi ta gueule ! Ne la ramène pas, parce que tu fais déjà assez avec les morts que tu laisses dans ta chambre.

Je vais donc vous conter comment Giggles en est venu à foutre ces macchabés dans la chambre voisine. « Oh ! Comment tu parles de ma personne ! Et de mes macchabés chéris ! Attend ! Dégage de là ! C’est moi qui vais leur raconter. » Ey ! Tous ! On s’en fout des salutations. Alors je vais commencer ma fabuleuse histoire avec l’amour de ma vie…

C’était pendant un soir, je ne sais pas quelle foutue saison c’était et on s’en branle légèrement. J’avais acheté un appartement dans le Bronx, le quartier chaud de New York, mais ça, vous le savez. Mais ce que vous ne savez pas et que mettre des cadavres dans ma chambrette n’est pas venu comme ça.

Tout a commencé le jour où je suis allé dans ce bar, je ne sais plus trop son nom mais il en avait un bien pourri. Le genre de nom que tu traces et que tu ne retiens pas. Bref, j’étais vraiment, mais alors vraiment, dans un état de merde, une dépression autrement dit. Le genre de dépression que je me tape tous les mois pour je ne sais qu’elle raison.

Déchiré entre mon travail et ma vie privée, si j’en ai une. Je suis rentré dans ce bar, je me souviens encore de l’odeur fumante de l’alcool vodka citron et rhum pomme. Les gens se droguaient avec des cigares grosses comme ma…Hum, hum. Bref. J’ai passé le pallier, me suis installé sur une chaise du comptoir pour boire, noyer ma dépression. Jusqu'à qu'une déesse vienne.

Une femme. Quelle femme ! Devrais-je dire. Cette femme est entrée comme si de rien n’était. Toute fraîche, toute seule, avec un putain de sourire. Je croyais prendre mon pied vous savez mais…Cette femme était le graal. (Y’a toujours une femme dans l’histoire)

Elle s’est assise à côté de moi, ces cheveux noirs luisaient à la lumière des lustres qui se tenaient au dessus de la tronche du barman, mais on s’en fout de ce mec. Elle sentait la vanille ou quelque chose de sucrée, en tout cas son odeur a rendu mon cœur fou comme un puceau. Sa peau pâle me faisait rêver. (C’était le graal je vous dis.)

Puis elle a tourné son regard vers moi, et là. Je me suis pris une baffe sous prétexte que je regardais ces nichons. Bon, c’était légèrement le cas. Mais elle est comme même restée à côté de moi, j’ai plus osé la regarder. C’est ce qui la fit sourire. Quel sourire. Des dents blanches.

Je venais d’ailleurs de remarquer son rouge à lèvres, j’aurais voulu lui mordre ses petites babines. Mais, pour la première fois de ma vie, je me suis retenu de faire quoique ce soit de déplacer. (Quel exploit!) Vous devez vous dire mais c’est une histoire banale. C’en était une. Jusqu’à qu’un mec lui touche le sein droit dans la rue… Mais ça j’en viens après. C’est là où c'est devenu l’amour fou entre nous.

Finalement, on a fini par discuter de rien et de tout. Elle s’est excusée de m’avoir giflé. Caressant ma joue pour savoir si j’avais mal. Ô grand dieu que j’aurais voulu avoir plus mal. Et ma dépression a disparu. Bref, la nuit s’est terminée par un "au revoir". Aucun sexe. Aucun mot déplacé. J’ai été un vrai petit gentleman. « Ouais, mais je peux te citer le nombre de lapsus que tu as fait pendant la conversation. » Ta gueule !

J’étais donc près à rentrer chez moi, le genre de truc que tout le monde fait quand il a passé une agréable soirée en compagnie d’une agréable femme. Je pensais surement à elle en marchant dans la rue. Mais le destin, vous savez le destin comment il est, m’a offert une chance de conquérir son cœur.

J’ai entendu sa voix suave. Quelque chose au fond de moi m’a énervé. J’ai pris le chemin le plus court pour me retrouver dans une ruelle sombre, et les pervers ça court les ruelles sombres, ouais un mec était en train, ou plutôt essayait de la violer, mais je suis arrivé à temps et je l’ai accompagné chez moi. Vous devez vous doutez que le mec en question n'est plus en vie en ce moment même.

Elle semblait traumatisée, c’est le genre de truc qui choque les femmes. Je n’avais eu aucune envie pour elle, enfin j’en avais eu mais je ne voulais rien lui faire car j’éprouvais un certain sentiment pour elle. Elle m’a lancé la perche et je n’ai fait que l’attraper. Vous savez la suite.

J’ai arrêté le mercenariat pendant deux semaines, le temps d’établir notre petit foyer dans mon appartement. Là, j’étais vraiment plus la même personne. Quelqu'un de plus équilibré. (Je suis ÉQUILIBRÉ !). Mais qui aurait cru que j’allais encore plus sombrer.

Il s’est passé plein de chose entre temps, et j’ai fini par savoir qu’elle fuyait son mari, bien sûr j’allais lui régler son compte, j’étais d’ailleurs allé chez lui pour lui régler son compte. Il m’avait bien dit que en rentrant, je n’allais pas la retrouver indemne.

Quelle foutue connerie cela avait été de la laisser seule. Quand je suis rentré, elle était morte, dans le lit de la chambre où se tiennent à présent mes macchabés. Le mec qui l’avait tué c’était enfui. Je n'ai pas cherché à lui courir après. J'ai juste regardé la femme que j'avais surement aimé.

Je ne me suis pas résolu à l’enterrer ou la brûler. Je l’ai donc laissé là pendant quelque temps. Mais vous savez que le corps humain fait du bon engrais. Ouais, y’a une petite pousse qui s’est créé lors de la décomposition du cadavre. Je n’allais comme même pas laisser mon bébé mourir sans autre cadavre.

Et depuis lors je tue, lors de mes furieuses crises de colère, des gens, ramassant que les femmes pour que ma belle plante puisse grandir encore. Vous n’avez jamais pu voir ma chambre secrète n’est ce pas ? C’est devenu un beau petit arbre. Un arbre de la mort ! Hahahaha !!
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