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 I put a spell on you, because you're mine | BUCKY&MARCIA

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MessageSujet: I put a spell on you, because you're mine | BUCKY&MARCIA   I put a spell on you, because you're mine | BUCKY&MARCIA EmptyDim 21 Fév - 1:35


Because you're mine, all mine


It's been a long time since we last met, you can put a gun on my head, i don't care at this point.


L’incertitude. Je tremblais en tenant le téléphone entre mes mains, incertaine s’il fallait que je me bouge ou que je reste sur place. Est-ce qu’il méritait vraiment que je me déplace pour lui? Qu’avait-il fait pour moi sauf me sauver une fois? J’avais fini plus souvent avec un fusil sur la tempe que je n’aurais du et me voilà encore éprise de cette même incertitude en lisant chaque mots du petit message texte que j’avais reçu. Un de nos mercenaire l’avait trouvé après des mois de recherche, cela voulait dire qu’il passerait bientôt le message au reste du groupe, mais j’avais eu la priorité sur l’information vu l’argent que je le payais pour trouver le soldat de l’hiver. J’avais mes ressources, souvent c’est dans l’ombre la plus totale qu’on trouve les mercenaires prêt à tout pour quelques billet, celui-là je ne doutais pas de sa parole. Il me donnait trente minute avant de le dévoiler aux autres, sauf si j’avais une contre offre intéressante, ce que je doutais pouvoir toucher pour le moment. Ezio était là, Cesare était là…se serait difficile d’expliquer pourquoi je sortais avec autant d’argent. Je soupirais en prenant place sur le coin du lit, les yeux toujours rivé sur l’appareil, je pensais rapidement. S’il se déplaçait le mercenaire le suivrait, cette situation n’aurait aucune fin jusqu’à ce que Percy puisse tomber nez à nez avec lui. Elle le tuerait ou pire le capturerait pour le torturer. Percy ne viendrait pas seule, mort une fois, n’est pas dupe une seconde fois. Elle ne ferait qu’une bouchée de lui, il ne pourrait pas résister à ce qui allait s’emmener en sa direction, pas avec une Percy en colère et vengeresse.

Me levant j’enfilais mon manteau de cuire et traversait la maison en une vitesse record pour me retrouver vite dans l’ascenseur. « Où vas-tu? » me demandait Cesare le temps que les portes se ferment. « Voir un ami, je reviens tard.» mentais-je d’une voix tremblante tendis que les portes se fermaient enfin.

Qu’allais-je faire une fois devant lui? Je me frottais vigoureusement le visage pour me réveiller un peu. Cette histoire n’allait pas bien finir. La dernière fois qu’on s’était vu il avait un fusil en main et il était prêt à me tuer pour m’arrêter. J’étais déstabilisée face à cette situation, je regardais les chiffres des étages descendre très lentement et cela n’ajoutais pas à mon impatience. Il n’y avait qu’une chose à faire et c’était de tuer le mercenaire pour sécurisé James. Pourquoi le faire suivre si je paniquais autant à l’idée qu’on le retrouve? J’avais tentée de le trouver dans l’idée de le tuer moi-même pour ce qu’il avait fait, mais il semblerait que j’avais des regret face à cette situation maintenant qu’elle se présentait devant moi. Il m’avait sauvé, ce n’était rien pour beaucoup de gens, mais le fait qu’il l’ai fait par pur reflexe m’en disait beaucoup sur lui. Il l’avait fait car c’était en lui, il n’était pas un humain comme les autres, il fallait simplement lui rappeler un peu. Je pouvais le faire, je pouvais amplement lui rappeler qui il était et tout mettre en ordre, mais pour ça il devait me faire confiance.

Les portes s’ouvraient et je sortais dans la même panique qu’auparavant. Mes talons claquaient furieusement au sol, j’aurais peut-être du mettre des chaussures normale, mais trop tard pour y penser. J’entrais dans le premier taxi qui était à ma disposition et allait à l’adresse qui était identifier sur mon téléphone. Chinatown, Bronx. Voilà qui était parfait pour quelqu’un voulant disparaître dans des petites chambre de motel miteuse. J’aurais personnellement favoriser la petite Italie, mais ça c’était seulement car les italiens étaient du genre très protecteur envers les petites italienne tel que moi.  Je soufflais, répondant au message que j’avais reçu en appelant directement mon mercenaire. « J’arrive, ne fais rien. Je vais payer. » dis-je d’une voix sèche et autoritaire. Il raccrochait sans rien ajouter, c’était sûrement trop risquer de répondre, il devait être à proximité de James. Cette idée montait ma nervosité en flèche alors que je me passais une main dans les cheveux.

Le taxi s’arrêtait, je payais puis sortait pour me tenir devant ce motel encore plus miteux que je l’aurais pensée. J’entrais dans l’édifice pour y trouver un vieil homme le nez dans ses bouquins à la réception. La réception n’était qu’une table qui tenait sur trois patte, quelques clés ici et là, rien de très organisé si vous voulez mon avis. Un motel hors la loi, pourquoi est-ce que cela ne m’étonnait pas? Mes yeux balayaient la petite pièce pour tomber sur mon complice qui me fit savoir la chambre en bougeant ses doigts. Deuxième étage, treize. Mon cœur voulait fendre ma poitrine tellement il se déchaînait. Je m’avançais vers lui et il me donnait sa paume en signe de paiement. Sortant l’argent de ma poche de manteau, je la mettais dans ses mains, bien que je me fis plaisir d’aller dans sa tête pour lui faire tout oublier. La lueur ne prit pas beaucoup d’expansion, j’étais parfaitement concentrée, juste assez pour le laisser dans le couloir en état végétale le temps que son cerveau se remette de ce qui venait de se passer. Je le tuerais plus tard, là je devais vérifier qu’il disait vrai, alors je montais très doucement les marches grinçantes et étroite.

En piquet devant la porte, je ne savais plus s’il fallait expirer ou inspirer ou dans quel ordre ça venait. J’étais juste là, me demandant ce que j’allais faire, ignorant mes propres intention. Tout ce qui m’importait était qu’il soit en sécurité, mais le reste je l’ignorais. Allais-je prendre de mon assurance habituelle ou allais-je rester planter là pour encore une éternité. Mon corps se réveillait à ma place, m’obligeant à toquer sur la porte de bois, trois petit coup presque silencieux se firent entendre.
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MessageSujet: Re: I put a spell on you, because you're mine | BUCKY&MARCIA   I put a spell on you, because you're mine | BUCKY&MARCIA EmptyDim 21 Fév - 23:44

Marcia & James
I put a spell on you ...

La journée avait été longue et complexe à plusieurs niveaux. Vous connaissez ce drôle de sentiment de déjà vu ? Cette étrange sensation avait passé près de détruire une parfaite embuscade à deux reprises. Seulement, car la position qu’il prenait pour traquer sa victime lui rappelait étrangement quelque chose. Son cerveau envoyait un signal à son corps que ce dernier ne comprenait pas et donc par automatisme il figeait quelques secondes. Ce n’était cependant pas du tout ce qui devait être fait. Heureusement le soldat arrivait à reprendre le contrôle sur sa personne à temps pour ne pas être découvert. Mais il allait devoir chercher une solution. Dans le temps il subissait de violents chocs électriques au cerveau. C’était ainsi que ses ‘’propriétaires‘’ arrivaient à reprendre le contrôle sur lui. Tristement, les scientifiques qui l’avaient modifié étant morts depuis longtemps et leurs équipements ayant été détruits dans une explosion. James devait donc vivre avec tout ce qui lui passait par la tête et il aurait pu vous confirmer que ce genre de sentiment était réellement désagréable par moment.

Alors que le jeune homme marchait en silence dans les ruelles de la ville pour retourner dans son ‘’appartement‘’, il ressentit une drôle de sensation dans la colonne vertébrale. Un sentiment qu’il connaissait trop bien, et ce depuis de nombreuses années. Quelqu’un le suivait il était prêt à mettre sa main encore valide au feu. Il se mit donc à faire quelques détours en surveillant derrière lui discrètement pour voir s’il avait raison et il eut la confirmation au bout de deux ou trois coins de rue seulement. James fit même un arrêt rapide dans un petit magasin chinois pour pouvoir y acheter quelques épices simplement pour confirmer son hypothèse. Alors que le soldat se trouvait en pleine conversation avec le propriétaire de l’endroit, un homme vêtu de noir fit son entrée dans l’endroit. C’était le même homme que Bucky avait aperçu un peu plus tôt par-dessus son épaule. Il s’agissait d’une situation intéressante dans un certain sens. Le soldat avait le choix. Soit il laissait cet homme vivre pour qu’il puisse savoir la raison exacte pourquoi il était suivi ou encore, James le mettait brusquement à mort sans se poser plus de questions. C’était un choix difficile, mais le jeune homme décida qu’il était mieux de laisser ce crétin vivant quelques heures de plus. Il pourrait être intéressant de savoir qui lui en voulait suffisamment pour payer un détective ou un tueur à gages pour le suivre aussi bêtement.

Au bout de quelques minutes James paya ses herbes et il quitta les lieux en silence, il fit une nouvelle fois plusieurs détours avant de se rendre finalement dans le quartier où il avait, pour le moment du moins, élu domicile. Considérant qu’il avait été repéré il allait quitter ce secteur au plus tard demain matin. James poussa la porte de l’hôtel miteux en silence, il ne prit même pas la peine de regarder le réceptionniste qui l’avait servi quelques jours plus tôt. L’état des lieux était négligé en soi, mais quand on est censé être un fantôme il ne faut pas être difficile sur les meubles. Rapidement, le soldat monta les escaliers pour se rendre au couloir ou se trouvait sa chambre, il marchait un peu plus vite qu’à la normale, mais pas trop non plus il voulait être certain que l’homme qui le suivait pouvait le voir. Ce fut également dans un silence presque paroissial que James ouvrit la porte de sa petite chambre. Il la referma et fit entendre le loquet pour verrouiller ladite pièce. Si l’humain qui le suivait était un tueur à gages, il n’aurait qu’à défoncer la porte et James l’attendrait derrière celle-ci avec une arme semi-automatique. Si l’homme était simplement un mercenaire engagé pour le suivre il entendrait rapidement des pas qui s’éloigneraient de lui. Au bout d’un court moment, le soldat put enfin entendre les pas s’éloigner. James eut un rictus au coin des lèvres. Il pouvait donc s’attendre à de la visite. Cette soirée s’annonçait plus intéressante qu’il ne l’aurait pensé.

Immobile à quelques mètres de la porte, James réfléchissait en silence, il tenait toujours son fusil chargé en main comme s’il s’attendait à ce que quelqu’un entre violemment dans sa petite chambre. Il savait pourtant que ce n’était pas bientôt que ça arriverait. Mais le soldat ressentait une nouvelle fois cette impression de déjà vu. Ses yeux voyaient des flashes d’image comme s’il était en plein sommeil alors qu’il savait parfaitement qu’il était éveillé. Des explosions, du sang, de la douleur. Il put également percevoir un bras métallique tenant une arme. Il s’agissait de son propre bras sa c’était certain, mais pourquoi cette image, pourquoi maintenant ? James crut entendre un son également, en fait il s’agissait d’une voix féminine qui était lointaine. Mais que disait-elle ?  Pourquoi ressentait-elle cette horreur ? Pourquoi semblait-elle si démunie ? Qui était ce Percy ? La pièce tanguait autour de lui, les doigts du jeune homme se resserraient sur son arme, ce genre de situation pouvait être très dangereux pour ceux qui se trouvaient près du soldat lorsque ce genre de chose lui arrivait. Il avait commis plusieurs meurtres la semaine précédente suite à ce genre de flash. Il avait cru un instant être à la guerre. C’était dur à croire vu son âge.

Brusquement le jeune homme revint à lui, ses doigts humains firent relâche sur son arme et avec une rapidité impressionnante James remit l’arme sous le lit puis il sortit de sa chambre par la fenêtre après avoir pris quelques secondes pour retirer le verrou. Ainsi si le besoin se faisait sentir il pourrait faire entrer son futur otage avec lui sans grand bruit. Agilement, James marcha sur les rebords des fenêtres avoisinantes jusqu’à ce qu’il eut atteint celle qui menait au corridor de l’hôtel. Il la fit ouvrir par l’extérieur puis ensuite il remit son corps en sécurité à l’intérieur. Dans un silence des plus complets, il fit fermer la fenêtre pour que personne ne sache ce qui venait de se passer puis il se remit en mouvement. La main humaine du jeune soldat s’abaissa jusqu’à sa ceinture d’où il sortit un long couteau. Ses idées étaient fixes, il savait parfaitement ce qu’il devait faire. Il avait été créé pour cela et il comptait bien se débarrasser de l’être qui l’avait fait suivre. Le soldat marchait lentement, chaque mouvement était prévu à l’avance, aucun son ne pouvait être perçu par ceux qui se trouvaient autour de lui. Arrivant au coin du corridor, James fit un mouvement rapide pour voir la porte de sa chambre. Son regard brumeux se posa sur le corps d’une personne qui n’était pas étranger à l’homme. Il avait croisé cette jeune femme à quelques reprises dans les dernières semaines et même qu’il avait passé tout près de la tuer la dernière fois. Et bien sa présence voulait simplement dire qu’elle le faisait suivre et donc elle méritait la même fin que n’importe qui. Il l’observait en silence, parfaitement dissimuler. La réaction du jeune homme vint au moment exact ou elle fit cogner ses jointures contre la porte en bois de la chambre de James.

Brusquement, sans aucune douceur le soldat fit éruption de sa cachette et il saisit la jeune femme, glissant rapidement son couteau sous sa gorge. Son bras humain retenant la jeune femme il ouvrit la poignée de sa main robotique et il poussa violemment la jeune mutante à l’intérieur avant de la suivre et il fit refermer la porte. Il se jeta une nouvelle fois sur elle puis il la plaqua brusquement sur le mur. Dans un geste qui semblait presque calculé, il la fit pivoter pour qu’elle puisse le regarder. Son couteau toujours au niveau de sa jugulaire, il la retenait fermement.

- Tu veux quoi ?

Sa voix était froide, déchirante et dangereuse à la fois. Il ne ressentait aucune peur, mais il savait parfaitement de quoi cette petite pétasse était capable, c’était pour cette raison que leur première rencontre n’avait pas été un réel succès. Maintenant qu’il avait mis la main sur elle, il ne comptait pas la lâcher avant d’avoir obtenu des réponses.


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MessageSujet: Re: I put a spell on you, because you're mine | BUCKY&MARCIA   I put a spell on you, because you're mine | BUCKY&MARCIA EmptyLun 22 Fév - 3:36


Because you're mine, all mine


It's been a long time since we last met, you can put a gun on my head, i don't care at this point.


Qu’es-ce que je faisais ici? Mon bras toquait par réflexe, mais c’était quasi inaudible, je ne comprenais même pas pourquoi j’avais fais tout ce chemin. Pourquoi? Y avait-il même une réelle logique derrière tout cela? J’étais juste là, immobile, les yeux rivés sur la peinture qui s’écaillait de la porte, sachant que derrière celle-ci se trouvait la personne que j’avais cherché aussi longtemps. Je retenais mon souffle à l’idée de ce qui allait suivre, encore une fois il ne voudrait rien entendre, malgré tout ce chemin que j’avais fais. Sérieusement, j’étais la première à tuer sans pensée et là j’étais dans une situation ou tout ce que je pouvais faire était réfléchir sans agir. Je n’y arriverais pas. Je fermais mes yeux en baissant mon bras, je le savais, je serais incapable de lui faire face. Je l’avais fait suivre dans le but de le faire tuer, je ne savais pas trop, le but de me venger peut-être? Je l’avais fais suivre pour venger Percy, mais à quoi bon si une fois que j’étais face à lui ou du moins à une porte, je restais là sans même oser respirer. Qu’es-ce qu’il m’avait fait? Pourquoi étais-je si faible, si inutile face à lui…

Un couteau se mis sur ma gorge et je n’eu même pas le temps de réagir. La lame froide perçait presque ma peau, juste assez pour me laisser surprise, le souffle court. Sans que je puisse réagir je me sentais lancée dans la petite chambre et ma liberté ne fut que de quelques secondes. J’étais accouder au mur, la lame de retour sur ma gorge, je n’osais toujours pas respirer. Réalisant tranquillement, je levais mes yeux vers lui pour me plonger dans ses yeux d’un gris perçant. S’il n’était pas si injecté de haine j’aurais presque pu m’y perdre. Ce n’était pas le temps de penser à cela, il était juste là, prêt à me tuer. Sa voix, je crois que c’était ce qu’il y avait de plus déchirant dans cette pièce. Il la voulait ferme et froide, mais mon cœur se brisait presque en miette en l’entendant parler ainsi. Je comprenais pourquoi on en était là où nous étions. Je comprenais amplement que dans sa poigne ferme il pourrait me tuer d’une seconde à l’autre, mais je savais aussi qu’il ne le ferait pas. J’espérais en tout cas.

« J’essaie d’aider, je ne sais juste pas comment. » soufflais-je difficilement tendis que la lame n’aidait pas à ma respiration. Je n’utilisais pas mon pouvoir cette fois ci, la dernière fois que j’avais tentée d’entrer dans ses souvenirs je m’étais confronté à une douleur qui me traversait encore aujourd’hui. Je n’avais pas envie de me déstabiliser et qui sait ce qui m’arriverait si je le déstabilisait. Ma gorge serait sûrement complètement tranchée, le sang coulerait sur le sol et ainsi s’achèverait ma longue histoire et mes vengeances. Je ne voulais pas mourir, pas comme ça, même si j’admets qu’il y avait pire vue. « Je ne te veux pas de mal » chuchotais-je doucement pour tenter de le mettre en confiance le plus que possible. Je ne bougeais pas du tout, il valait mieux pour moi de reste immobile contre le mur à sa disposition pour l’instant. Je l’avais vu tuer, je savais de quoi il était capable, je préférais de loin suivre ses mouvements que finir cette soirée six pied sous terre.

« Je pourrais peut-être… » j’évitais de trop parler, la lame faisait beaucoup trop mal sur ma gorge pour que je parle trop longtemps. « t’expliquer si tu me donnais une chance. » dis-je le plus doucement possible. Je ne pouvais pas le lâcher du regard, de ses yeux perçant jusqu’à ses cheveux bruns tombant sauvagement sur son visage. Il était peut-être dangereux, mais je n’avais jamais ignoré qu’il y avait quelque chose derrière ce danger imminent qui m’attirait. Il était humain, mais il était différent d’eux. C’était peut-être juste l’effet d’avoir été sauvée par lui il y a longtemps. Quoi qu’il en soit je restais silencieuse, les yeux rivés sur son visage, je me demandais ce qui allait réellement arriver pour la suite. Sans comprendre pourquoi j’étais juste déstabilisé complètement, incapable de reprendre ma confiance habituelle, mon souffle était encore court.

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MessageSujet: Re: I put a spell on you, because you're mine | BUCKY&MARCIA   I put a spell on you, because you're mine | BUCKY&MARCIA EmptyLun 22 Fév - 14:44

Marcia & James
I put a spell on you ...




Pourquoi avait-il réagi aussi intensément lorsque la jeune femme avait cogné à la porte ? James ne le savait pas réellement. Il se souvenait de quelques détails, mais rien n’avait de lien avec rien et donc le tout devenait réellement complexe à comprendre. La seule chose dont le soldat était réellement certain venant de lui-même c’était qu’il avait subi un entrainement à un certain moment. Ses réflexes étaient trop rapides pour un simple humain basique. De toute manière là n’était pas l’important. Ce qui comptait vraiment c’était d’attraper cette garce pour savoir ce qu’elle lui voulait exactement. Ce fut peut-être la raison qui le poussa à être aussi direct et brusque avec elle. Il ne comptait certainement pas lui laisser une parcelle d’espoir aujourd’hui. Si mort il devait y avoir alors mort il y aurait point final. Une fois à l’intérieur de la chambre, James avait verrouillé la porte, ainsi si elle réussissait par un moyen quelconque d’échapper à son bras robot, elle ne pourrait pas fuir aussi aisément qu’elle ne pensait. Si elle ne lui donnait pas ce qu’il voulait avoir, elle risquait de terminer sa vie dans l’océan.

La jeune femme semblait horrifiée cependant elle ne se débattait pas. Avait-elle cherché cette rencontre ? Bucky la trouvait louche, même les paroles qu’elle employait étaient illogiques. Elle était nerveuse en sa présence et il y avait certainement une très bonne raison à son comportement. Elle devait attendre quelqu’un qui l’aiderait à combattre. Le soldat l’observait en silence, il écoutait chacune des paroles qu’elle utilisait, tentant de trouver un lien quelconque, un code spécial, une trace qui pourrait lui confirmer qu’elle n’était qu’une traite, qu’une trainée et qu’elle méritait de mourir. Heureusement pour Marcia, même si le jeune homme trouvait ses réactions étranges, il ne réussit pas à trouver quelque chose d’assez gros pour qu’elle ne meure sur le champ. James relâcha légèrement la pression sur le couteau qu’il tenait à sa gorge. S’il voulait la faire parler, il serait mieux pour lui qu’elle puisse utiliser sa gorge. Malgré la pression en moins il la tenait toujours aussi fermement contre le mur de sa chambre. Elle aurait très certainement une ou deux contusions considérant la forte brute qui se trouvait dans son bras mécanique. De nouveau, le soldat ouvrit les lèvres.

- Tu ne me veux pas de mal, mais tu me fais suivre …

Le regard de James était glacial, il ne laissait transparaitre aucune émotion. C’était un acte de faiblesse de laisser voir joie, tristesse, colère. En fait, la seule chose que vous pouvez lire sur son visage ou dans son regard est la haine. Il déteste tous et chacun pour ce qu’il a dû subir dans son passé. C’est une chose horrible que de se faire torturer et d’oublier qui on est vraiment. Personne ne serait sain d’esprit après un tel traitement. Alors que James se questionnait en silence à savoir ce qu’il pourrait lui faire subir comme torture pour qu’elle soit assez intelligente pour se délier la langue, Marcia ouvrit une nouvelle fois les lèvres, mais cette fois-ci, James ne réagit pas aussi calmement que quelques instants plus tôt. Son visage se durcit et avec une force impressionnante même pour une mutante comme la jeune femme, James l’envoya valser sur le mur opposé à l’endroit ou il la tenait. Sans plus de douceur il revint la chercher au travers des débris de l’armoire qu’elle venait de fracasser et une nouvelle fois il l’appuya violemment contre le mur qui se trouvait près de lui. La haine dans son regard était plus forte, plus présente.

- M’expliquer ton plan pour me capturer, je présume …

Le bras robotique du jeune homme retenait la jeune femme sur toute sa largeur. Il était appuyé un peu au-dessus de ses seins et allait d’une épaule à l’autre. Son bras humain tenait le couteau qui se trouvait toujours près de la gorge de la jeune femme. Il attendait des aveux.


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MessageSujet: Re: I put a spell on you, because you're mine | BUCKY&MARCIA   I put a spell on you, because you're mine | BUCKY&MARCIA EmptyMar 23 Fév - 1:13


Because you're mine, all mine


It's been a long time since we last met, you can put a gun on my head, i don't care at this point.


Pourquoi se débattre? Il était là, couteau sur ma gorge, prêt à me trancher vive sans aucun remord. Je ne voyais pas vraiment l’opportunité pour l’instant de me dégager, pas tant qu’il aurait une pression sur moi. Ma voix était cassé, j’étais déstabilisée entre la peur et une certaine fierté qui m’empêchait de me montrer faible. J’avais été dans des situations bien pire que celle-ci, à la différence près où je n’avais jamais autant eu de regret à la simple idée de devoir faire du mal à la personne qui me tenait captive. Rappelez moi déjà pourquoi j’étais venu jusque ici? J’aurais juste du tuer le mercenaire et repartir comme si rien n’était, oublier cette histoire et passer à autre chose. Je stressais à cette pensée. Je n’avais pas tuer le mercenaire, si James me tuait, je perdrais contrôle sur la mémoire de mon acolyte qui pourrait tout rembarrer à Percy. L’idée que Percy le trouve me semblait pire que de devoir être contre le mur, incapable de me défendre pour le moment, c’était bien là l’ironie. Je tentais de placer des mots, mais c’était compliqué de parler sans sentir la lame s’enfoncer encore plus dans ma gorge. Il savait très bien ce qu’il faisait, je n’en doutais pas une seule seconde, mais de mon côté j’étais dans le néant complet. Je l’avais même officialisé en parole. Je voulais l’aider comme il m’avait aider, quand personne ne croyait en moi, quand tout le monde se serait arracher un morceau de ma récompense en me donnant à Trask. Pourtant j’ignorais complètement comment arriver à l’aider lui, tout ce que j’avais réussis à faire jusqu’à aujourd’hui c’était de me battre avec lui. Combien de conversation civile avions nous eu depuis? Je crois que présentement nous étions entrain de battre un record de parole, il faut croire que les miracles existe véritablement, nous avions tout les deux enchaînés deux mots sans blesser l’autre. Enfin, dites ça à mon dos. C’était tout de même moins pire que nos anciens affrontement.

« Ça paraît mal, je te l’admets… » tentais-je de souffler hors de ma gorge sans qu’il me la tranche. Sa pression se faisait de plus en plus douloureuse, même s’il relâchait un peu le couteau, le mur n’était pas l’endroit le plus confortable au monde. J’aurais préféré un lit ou un divan… Son regard était si froid, je ne le lâchais tout de même pas des yeux, j’étais beaucoup trop fière pour regarder ailleurs. Je reparlais de nouveau, mais cette fois là il fut véritablement en colère. Merde, ce qu’il était irritable cet humain. J’aurais voulu soupirer, croyez moi, mais je n’eu pas le temps de réagir. Ma fierté en prenait tout de même un coup quand il me renvoyait valser au travers de la petite chambre. Je ne sais pas si mon corps s’est brisé ou si j’ai juste vraiment souffert, mais autant que l’armoire fut en pièce, elle était assurément moins abîmée que moi à ce moment très précis. J’avais véritablement le souffle court cette fois ci. J’étais assommée, complètement hors de moi, autant que je voulu lever la main vers lui que j’abandonnais aussitôt cette idée. J’avais mal partout, mon corps se faisait de nouveau soulever sans que je puisse lutter pour se retrouver aussi violemment dans un mur. « ouch… » murmurais-je en fermant les yeux pour tenter de faire passer un peu de douleur.

Le voilà qui divaguait sur une idée d’être capturé. C’était plus fort que moi, un sourire vint se poser sur mes lèvres, je retrouvais son regard. Si le sien était colérique, agressif, froid…moi c’était plutôt un regard amusé que je lui partageais. « Si je voulais te capturé j’aurais été plus intelligente que cela James… » soufflais-je en léchant mes lèvres pour y découvrir un étrange goût ferreux. J’avais saigné, le coup de l’armoire avait été plus douloureux que je le croyais, mais impossible de trouver un miroir pour admirer le travail de l’artiste. Je n’aurais peut-être pas du être isolante, mais c’était plus fort que moi, je ne pouvais pas m’empêcher d’être moi.

Il avait une bonne pression sur mon avec son bras de métal, son authentique prêt à me trancher la gorge comme une truie à l’abattoir. Il avait l’air si déterminé, sincèrement, je crois que je venais de trouver mon type d’homme. J’étais folle, FOLLE je vous dis, j’avais un truc pour les couteaux à la gorge? Non c’était plus les cheveux en batailles, le regard perçant et cette allure qu’il avait. Pas le temps Marcia, il pourrait te tuer, divague plus tard comme dans ta chambre seule avec personne pour te tuer. Je m’éclaircissais la voix, de toute évidence il voulait en savoir plus, mais merde je n’en savais pas plus. « Je suis venu pour t’empêcher d’avoir des ennuies enfaîte, normalement on dit merci, tu l’as oublié ça aussi? » Oups. Ce n’était pas ce que je voulais dire, je m’attendais au pire, mais cela ne m’empêchait pas d’enfin bouger un peu mes bras (enfin mes mains, mais vu notre proximité je n'avais aucun problème) pour venir effleurer sa taille avec mon sourire le plus provoqueur qu’il soit. « Aller, on fait la bise et ensuite la paix?»


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MessageSujet: Re: I put a spell on you, because you're mine | BUCKY&MARCIA   I put a spell on you, because you're mine | BUCKY&MARCIA EmptyMer 24 Fév - 1:36

Marcia & James
I put a spell on you ...




Cette rencontre resterait certainement gravée dans la mémoire de cette jeune femme. Il était normal de se souvenir de sentiments désagréables. En fait le cerveau est ainsi fait. Il est même prouvé que si l’humain doit choisir entre deux situations de son passé, une très agréable et l’autre particulièrement désagréable, il aura tendance à considérer le moment désagréable comme plus important, car il s’agit d’un signe évident de sa faiblesse psychologique. De plus, chaque humain revoit la situation négative comme un échec et donc le cerveau aura tendance à se faire une histoire de l’évènement pour voir comment il aurait pu réagir pour que le tout soit positif à la place. Pathétique comme fonctionnement, parfois le cerveau humain est dégoutant, mais que voulez-vous, il faut bien vivre avec ce genre de chose sinon personne n’irait nulle part? Qui peut être heureux en ne vivant que des situations agréables ? Évidemment personne, aucun humain saint d’esprit ne tolèrerait une vie parfaite avec juste des moments de pur bonheur sans jamais le moindre nuage pour rendre sa journée plus complexe. Si un jour vous croisez une personne comme cela, croyez-moi, elle est sous médications. On appelle cet état la dépression.

James retenait la jeune femme malgré toutes les pensées qui lui venaient en tête. Même si son esprit lui disait qu’elle ne se sauverait certainement pas vu le comportement du jeune soldat, il préférait ne pas prendre de chance. Un mutant restait un être dangereux et imprévisible. Il avait déjà été attaqué par cette chose quelques semaines avant. Elle avait tenté d’entrer dans sa tête et donc il ne lui laissait plus de chance. Ce fut peut-être pour lui prouver qu’il était sérieux qu’il la fit faire un vol plané dans la pièce. Le fracas fut même particulièrement impressionnant. Une armoire en bois massif qui se détruit ce n’est jamais très doux comme son. James se mit même en mouvement pour venir saisir de nouveau la jeune femme. Lorsque le corps de la mutante fut de nouveau en contact avec le mur, James put l’entendre émettre un léger son prouvant son inconfort. Le corps de la demoiselle avait subi quelques blessures. Une légère coupure à la lèvre inférieure laissait voir du sang sur son visage. Ce devait certainement être son corps qui avait subi le plus de coups, mais James n’en ayant pas grand-chose à faire, il se contenta de la presser contre le mur. Ce fut peu après que Marcia ouvrit les lèvres pour répondre à ce que le soldat venait de dire. Elle se trouvait drôle ? Presque immédiatement, James réagit et ouvrit les lèvres.

- Tu m’as prouvé que l’intelligence n’est pas dans tes points forts Marcia …

Les secondes passaient en silence quand brusquement, la jeune femme changea de comportement ce qui rendit le jeune soldat un peu plus froid qu’il ne l’était. Si elle tenait à mourir ce soir, elle finirait par y arriver. Là dessus il n’y avait pas de doute possible pour James. Lorsque la mutante ouvrit les lèvres, le jeune homme sentit clairement le sarcasme dans sa voix. Même si elle ne l’était pas, le jeune homme lui trouvait qu’elle l’était et il n’aimait pas beaucoup ce genre de chose. Les doigts humains de Bucky se resserrèrent en silence sur l’arme blanche qu’il tenait encore à portée de la gorge de la jeune femme. Si elle n’utilisait que des paroles, ce n’était pas trop grave. Trop tard, le soldat avait réfléchi trop vite. À peine terminait-il de ce faire ce commentaire qu’il sentit les doigts de la jeune femme frôler sa taille. Elle lui adressait même un sourire. Évidemment qu’elle faisait exprès. Il allait lui faire disparaitre son sourire assez rapidement.

Brusquement James relâcha la jeune femme pour la laisser retomber au sol. Dès l’instant où ses pieds eurent atteint les débris de bois, il la saisit par l’épaule sans grande douceur et il lui asséna un brusque coup de poing dans le ventre. Par chance pour la jeune femme il avait utilisé son bras humain pour frapper. Sans plus attendre, James remit son couteau dans la pochette sécurisé à sa  taille et il força Marcia à se relever. Il lui prit la mâchoire et il lui releva la tête de manière à ce qu’elle soit obligée de la regarder.

- Elle t’a plu ma bise ?

Cette phrase était glaciale. James relâcha le visage de Marcia, lui laissant le plaisir de ressentir la douleur provenant d’un peu partout sur son corps. Il n’avait pas prévu tuer ce soir, mais si elle ne lui laissait pas le choix, il lui réglerait son cas assez rapidement. Elle allait regretter son comportement autant qu’elle devrait avant de sentir la vie quittée son petit cadavre encore chaud.


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MessageSujet: Re: I put a spell on you, because you're mine | BUCKY&MARCIA   I put a spell on you, because you're mine | BUCKY&MARCIA EmptySam 27 Fév - 0:12


Because you're mine, all mine


It's been a long time since we last met, you can put a gun on my head, i don't care at this point.


Il n’était décidément pas d’humeur aujourd’hui. J’avais un peu pris l’habitude de le prendre dans un moment grincheux, mais là il n’avait vraiment pas envie de jouer ce petit soldat. Je désespérais presque à l’idée d’un jour avoir une conversation civile avec ce trou noir sur deux pattes. Mon corps avait de la misère à suivre, mais je gardais mon esprit incassable, mon corps lui l’était. Ce n’est pas que je n’appréciais pas la proximité, vraiment je n’avais rien contre un peu de corps à corps avec mon cher James, mais j’aurais préféré que ce ne soit pas une dague qu’il pointe contre ma peau. Le jour où je pourrais blaguer n’était pas encore arrivé, non parce que ma simple réplique le mis presque en colère. Il m’attaquait sur mon intelligence, ce à quoi je répondis un air complètement béat et la bouche grande ouverte dans ma surprise. C’est bien. Il avait de la répartie, bon signe quand on cherche à savoir si la personne devant nous est récupérable, il l’est de toute évidence et je devais apprendre à me trainer des bouteilles d’eau en sa présence histoire de calmer la brûlure qu’il causait. « Woah… » dis-je très doucement, sans le brusquer. « Tu t’es levé du bras gauche? Ah non…pardon…C’est vrai que c’est impossible comme tu n’a plus de bras gauche. »

Et voilà que je me retrouvais dans une armoire qui brisait sous mon poids. Il n’appréciait pas les blagues, noté. Je me relevais difficilement, mais rien à faire, il revenait me chercher avant que je puisse faire quoi que ce soit pour reprendre sa supériorité sur moi. Seigneur, Ruth disait que c’était agréable d’être dominer, j’avais à débattre sur ce sujet en ce moment. Chaque fois que je parlais il se fâchait d’avantage, je commençais à croire que je n’aurais pas du venir ici, surtout en ne sachant même pas quoi dire ou quoi faire. J’allais effleurer sa taille en tentant de l’intimider, j’espérais sincèrement qu’il se recule et me laisse un peu la parole, mais le résultat allait me décevoir.

En moins de trois seconde il me relâchait, mes jambes me lâchait dans l’immédiat, mon corps voulait se retrouver au sol car il était en mauvais état. Je suivais la vague jusqu’à ce que mes genoux viennent se poser au sol. À ce moment là je sentie quelque chose me couper complètement l’air, une douleur au ventre vint m’empêcher de même respirer, j’en fermais mes yeux sous la douleur. Il m’avait frappé, il n’y était pas aller doucement non plus, mon ventre était encore contracté par la douleur quand je me sentie relevé. De toute évidence, ça l’amusait de me jeter d’un côté à l’autre de cette pièce, finalement il n’était pas si unique. Ma famille avait cette habitude de me jeter d’un côté à l’autre comme une poupée de chiffon. J’ouvrais les yeux pour tomber dans son regard toujours aussi froid, colérique, impulsif. Ce regard que je rendis un peu plus doucement que précédemment. Cette phrase, je sais qu’il la voulait imposante, mais elle étirait un sourire sur mes lèvres. Je me retenais le ventre reprenant très doucement ma respiration avant de le regardé amusée par toute cette situation.

« C’est pas avec ça que tu va charmer les demoiselles. » répliquais-je en reprenant quelque peu de ma fierté, quoi qu’elle avait été anéantie avec l’armoire. « Sayait? » marmonnais-je en frottant mon ventre doucement. Mes jambes étaient molles, tremblante, mes bras avaient encore l’impression d’être sous sa pression. J’avais la lèvre fendu qui saignait de plus belle, j’avais des maux de dos, de tête, des maux qui allaient sûrement me suivre pour un certain moment. Je ricanais pourtant, peu importait l’état dans lequel mon corps se retrouvait, mon esprit lui était toujours aussi compliqué à briser. Ma famille avait tenté de me briser, les groupes anti-mutants avaient tentés de me briser, Ruth avait aussi tentée dans l’intention de faire de moi quelqu’un de meilleur, mais personne n’avait réussis à casser cet orgueil de merde qui restait toujours et autant un trait dominant. « Tu me laisse la parole un peu où tu avais d’autres plan de rénovation de prévu? Je veux bien qu’on rénove le lit, mais pour le reste j’irai te chercher une vraie massue. »

J’avalais ma salive difficilement, le goût ferreux se laissait aller dans ma bouche, je respirais très doucement. Relevant mon regard, je retombais dans le sien, toujours aussi peu impressionné. Je regrettais presque de me débattre autant pour lui, de combattre autant des miens pour ses beaux yeux, ce n’est pas comme s’il était très reconnaissant de tous mes sacrifices. Un soupire, mon sourire se faisait moins présent, je regardais l’entièreté de cette pièce. Une main lasse dans mes cheveux, j’attachais ma crinière au cas où il décidait de me faire faire un nouveau vol plané. « Je sais que ça parait mal, mais tu vas me laisser m’expliquer cette fois? » débutais-je le plus doucement que je pouvais en revenant à lui. Je mettais de nouveau une main sur mon ventre, bordel, ça faisait un mal de chien. « Je ne te mentirai pas, je ne l’ai jamais fais jusqu’ici non? Tu peux me croire… » C’était dur de parler avec lui, d’anticiper ses réactions, je ne pouvais pas le lire. Il était l’inconnu pour moi, j’aurais pourtant bien aimer pouvoir le lire pour une fois dans ma vie à ce moment même, ça m’aurait peut-être évité d’avantage de blessures.

« Oui, originellement, je te faisais suivre dans le but de te tuer.. » Mais? Je respirais doucement, ça n’allait pas être facile. « Je ne peux pas. J’étais donc venu pour neutraliser celui qui t’avait trouvé et te dire de partir. . » Je parlais au passé, toujours au passé, car tout changeait. « Tu n’as aucune raison au monde de me croire James, mais je veux ta sécurité, même si toi tu veux m’utiliser en marteau piqueur. J’en tiens à mon point, je veux t’aider, je ne sais juste pas…comment. » Gloussant, je restais immobile, toujours en position neutre. Je voulais lui laisser savoir que je ne comptais pas lui faire de mal, je ne m’étais même pas défendu une seule fois, mais le connaissant…

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MessageSujet: Re: I put a spell on you, because you're mine | BUCKY&MARCIA   I put a spell on you, because you're mine | BUCKY&MARCIA EmptyJeu 10 Mar - 18:06

Marcia & James
I put a spell on you ...




Cette scène peu commune aurait très bien pu être tirée d’un film tellement c’était étrange comme situation. James était brusque et il ne ménageait aucunement la jeune femme qui restait pourtant là. Elle aurait très bien pu utiliser son pouvoir pour que le jeune humain la lâche et qu’ainsi elle puisse fuir, mais il n’en était rien. Elle se contentait de subir chacun des coups que le jeune soldat lui donnait sans broncher le moins du monde. Cette Marcia méritait réellement le respect, mais pour le moment James était trop occupé à tenter de comprendre pourquoi elle le suivait pour voir cette belle parcelle de sa colocataire temporaire. Le jeune homme n’écoutait pas réellement toutes les paroles de Marcia. Il considérait tout cela inutile, car il savait parfaitement au fond de lui ce qu’elle lui voulait. Elle avait tenté de le retrouver dans l’unique but de le mettre à mort, c’était tellement évident ! Plus les minutes passaient et plus le soldat devenait nerveux. La raison à tout cela était fort simple et parfaitement compréhensible. Au vu de tout le bruit que James avait fait en fracassant l’armoire, il était naturel de se demander quand quelqu’un arriverait pour savoir ce qui se passait. Les minutes étaient comptées et cela, James le savait parfaitement.

Le jeune homme observait la mutante en silence. Il savait parfaitement que puisqu’il venait de lui offrir un coup de poing particulièrement puissant elle ne risquait aucunement de se sauver du moins pour les dix prochaines minutes. James s’était légèrement reculé après avoir offert le coup de point à la jeune femme. Il lui laissait un peu d’espace, elle ne le méritait pas réellement, mais il fallait toujours s’attendre à tout avec les mutants, le soldat l’avait appris avec les années. La jeune femme était silencieuse, en fait la seule chose que l’on pouvait réellement entendre c’était sa respiration. Elle reprenait son souffle, ce qui était logique au fond. Qui, à part un cadavre peut-être, pouvait ne pas avoir le souffle coupé par un coup au ventre ? Le silence était total, même les mouches auraient pu être entendues durant un court laps de temps. Ce fut la jeune femme qui brisa la perfection en prenant la parole. Le jeune homme écouta ce qu’elle avait à dire en silence. Elle cherchait à le provoquer ou elle était juste conne ? La question se posait sérieusement, car depuis que Marcia avait mis les pieds dans la chambre du jeune homme elle ne faisait que provoquer et reprovoquer. C’était d’ailleurs pour cette raison qu’elle avait présentement de la difficulté à reprendre son souffle. Le jeune homme serra légèrement le poing de son bras gauche, mais il décida de demeurer immobile. Après tout, l’écouter serait peut-être une bonne idée. Elle allait certainement finir par lui dire quelques choses qui pourraient lui être utiles.

James ne comptait pas répondre à cela. De toute manière une réponse aurait été totalement inutile puisqu’elle n’aurait fait que le provoquer un peu plus en espérant peut-être finir sa nuit à l’hôpital ? Le soldat eut un léger tic dans le bras au moment ou la demoiselle releva les bras pour s’attacher les cheveux. Les mouvements brusques étaient dangereux en présence de cet humain. Le risque de mort était très élevé, Marcia avait donc été extrêmement chanceuse de ne pas terminer sa journée répartie un peu partout dans la pièce. Ce fut peu après cet presque évènement que la jeune femme reprit la parole. Elle souhaitait réellement qu’il lui fasse confiance ? Elle pouvait bien rêver. Elle était loin de méritée ne serait-ce qu’une once de confiance. Le silence retomba lentement, James était toujours silencieux. Elle voulait lui expliquer et bien qu’elle le fasse, mais le jeune homme ne pouvait en aucun cas lui garantir une réaction positive au final. Il était là à attendre une nouvelle série de paroles de la part de la mutante. L’attente ne fut pas particulièrement longue d’ailleurs, presque immédiatement Marcia reprit la parole et elle lui avoua même avoir voulu en tout premier lieu le retrouver pour le tuer. Lentement, James fit bouger son bras humain et il le déposa sur le manche de l’arme qu’il tenait à sa ceinture. Il ne fit aucun mouvement de plus. Il gardait simplement sa main sur cette chose meurtrière.

La jeune femme pris quelques secondes pour reprendre son souffle, elle semblait ressentir un étrange mélange de sentiments contradictoires. Ce n’était pas illogique non plus. Comment voulez-vous être parfaitement à l’aise après avoir clairement avoué à un meurtrier qu’on était à la base venu pour le mettre à mort ? Lorsqu’elle reprit la parole, sa voix ne tremblait pas. James observait son corps en silence, tentant d’apercevoir le moindre signe qu’elle lui mentait. Il tenait toujours son arme en silence prêt à réagir au moindre signe de sa part, mais absolument rien ne venait. Bucky n’aimait pas ce qu’elle démontrait à ce moment précis. L’attachement était pour les faibles, le pire dans tout cela c’était surtout qu’elle le connaissait à peine. Comment pouvait-elle être aussi idiote ? James dégaina son arme et il la pointa sur la jeune femme. Le canon de l’arme frôlait presque la poitrine de la jeune femme. Son regard brillait légèrement. Il était troublé, il ne comprenait plus rien. Son cerveau roulait à cent à l’heure. Il n’avait jamais aimé ce genre de situation et normalement il faisait disparaitre ce qui l’avait créé. Dommage pour cette jeune femme quand même. James ouvrit lentement les lèvres.

- C’est de ta sécurité que tu aurais dû te préoccuper …

Le jeune homme resserrait lentement le doigt sur l’enclencheur de l’arme. Il ne savait pas encore s’il tirait ou non. La lancée dans la pièce ne servirait à rien dans ce genre de situation, aussi bien y mettre un terme. Quoi que …


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MessageSujet: Re: I put a spell on you, because you're mine | BUCKY&MARCIA   I put a spell on you, because you're mine | BUCKY&MARCIA EmptyMar 15 Mar - 3:08


Because you're mine, all mine


It's been a long time since we last met, you can put a gun on my head, i don't care at this point.


Un fusil sur ma poitrine, je respirais avec plus de difficulté, il ne voulait vraiment rien entendre. Que pouvais-je faire de plus à ce point? Le provoquer n’était décidément pas la bonne idée, certes Vael pourrait me ramener tout comme il avait ramené Percy qui avait été une des victimes du soldat de l’hiver, mais je n’avais pas envie de faire l’expérience de la mort. Il parait que ça vous change, que vous ne revenez pas le même, je ne voulais pas tenter ma vie sur un fil de cuivre par un temps orageux. Mes yeux dans ses yeux, les secondes s’espaçaient très doucement, je n’arrivais même plus à placer de sourire sur mes lèvres. Mensonge, j’y serais arrivée avec une aide impressionnante si je l’avais voulu, la mort ne m’effrayait pas. Par contre je croyais valoir tellement plus que la fille qui est morte des mains du soldat de l’hiver. Mon histoire ne pouvait pas se finir sur celle qui à été lamentablement tuée par le mec qu’elle tentait de protéger pour un seul instant où il avait fait pareil. Il avait oublié, c’était évident désormais, il n’avait plus aucune idée de qui j’étais. Il ne s’en souviendrait sûrement jamais, qu’avais-je été sauf une seconde dans sa très longue vie? Que cette mutante qu’il avait sauvé par instinct contre ses attaquants, qu’une mutante qu’il n’avait pas jugé, qu’une fille en détresse durant ces quelques secondes de nos vies communes. Je n’étais rien, ne serais que poussière et un souvenir sans valeur pour lui. Aussi clair que ce soit, je n’en étais pas moins brisée à l’idée qu’il m’ai oubliée, bien que je ne me donnais pas non plus l’honneur d’être quelqu’un d’assez important pour lui. Nos rencontres avaient toujours été brève, violente, se résultant souvent avec un mort. C’était peut-être la réalisation dont j’avais besoin pour reculer, pour abandonner, pour passer à autre chose. Pourtant…

Une étincelle brillait dans mon iris, si faible, mais si rayonnante. Je n’abandonnais pas, j’étais une Luciani, les Luciani se battaient toute une vie pour leur valeurs et même dans la mort ils ne se laisseraient pas faire par la faucheuse si facilement. Nous étions des battant et ne laissions personne derrière. J’avais promis, je m’étais promis de l’aider, lui qui avait fait pareil. Il n’avait personne là où j’avais déjà été dans sa position, quoi que j’avais certainement moins d’ennemis, mais il ignorait qu’il m’avait moi. Quoi qu’il en dise, quoi qu’il en fasse, j’allais me battre pour cet humain. J’avais ressentie tellement de douleur la seule fois où j’avais eu l’aise de rentrer dans sa tête, cette douleur m’avait rappelée la mienne, je ne pouvais quand même pas le laisser repartir vers ce qui avait causé sa souffrance. J’étais fière, droite, le regard déterminé plongé dans ses yeux glacés. « Je ne crains pas pour ma sécurité James. » soufflais-je entre mes dents en l’étudiant doucement du regard, je sentais qu’il n’aimait pas ça, mais je n’allais pas arrêter pour lui. S’il voulait de la sincérité, il en avait un plateau d’or devant lui, il n’aurait que cela de ma pars. « c’est justement pour ça que je suis ici, tu as un allié James, je serai toujours[…] » nous étions interrompu.

Le mercenaire était revenu à ses esprits, mais sans sa mémoire il n’avait entendu qu’une vague de bataille. Il devait avoir attendu que le calme se pose dans la pièce avant de débarquer, brisant la porte d’un coup de pied, provoquant une tension dans la pièce beaucoup trop grande pour que j’endure. Cette fois je me déplaçais rapidement comme que la porte se brisait sous le coup pour éviter de finir cette journée avec un trou béant dans la poitrine. Le stress montait d’un cran, le nouveau joueur avec un fusil aux mains, parfaitement visé vers le soldat de l’hiver. « NON! » criais-je de ma voix, m’interposant entre les deux hommes, empêchant le mercenaire d’atteindre sa cible sans qu’il doivent m’abimer. Étrangement je vis une hésitation, le mercenaire avait peur, mais certainement pas le brun derrière moi. « VA T'EN, JE T'ORDONNE DE PARTIR!» tentais-je de nouveau. Rien à faire, il semblerait qu’aujourd’hui personne ne m’écouterais.


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MessageSujet: Re: I put a spell on you, because you're mine | BUCKY&MARCIA   I put a spell on you, because you're mine | BUCKY&MARCIA EmptyMer 16 Mar - 2:04

Marcia & James
I put a spell on you ...




L’histoire allait se terminer ainsi. Le bruit retentissant d’une balle allait se faire entendre, un soupir de douleur et puis après que le corps sans vie de la demoiselle aurait touché le sol, le silence serait de nouveau présent et complet. Plus personne ne dirait mot et au bout de quelques minutes le soldat quitterait la pièce pour ne plus jamais y revenir. On conviendrait facilement que cette pauvre jeune femme avait subi l’attaque d’un meurtrier sans cœur, mais le tueur ne serait jamais retrouver, car au fond, qui peut attraper une ombre ? La scène semblait figée, les deux êtres étaient complètement immobiles alors que le soldat pointait sans aucune gène une arme meurtrière sur la poitrine de la jeune femme. Même cette dernière ne semblait pas réellement savoir comment elle pourrait réagir à une réaction comme celle-là. Peut-être accepterait-elle simplement la mort et qu’elle fermerait les yeux avant d’entendre ou de sentir quoi que se soit. Peut-être aussi tenterait-elle de sauver sa peau. Personne ne pouvait réellement savoir à cet instant précis ce qu’allait être le futur. La femme demeurait là dans un silence presque divin. Le jeune homme ne parlait plus maintenant, mais le silence demeurait. L’arme était-elle enraillée ? C’était impossible venant du jeune homme. Alors la véritable raison du silence était qu’il n’avait pas encore tiré. Mais qu’est-ce que James attendait ? Il n’avait jamais été du genre à hésiter sur une mise à mort. Clairement, quelques choses se passaient dans son esprit, il réfléchissait à ses options.

La jeune femme demeurait là, complètement silencieuse. Elle semblait nerveuse, mais étrangement elle n’était pas traumatisée par la situation. Le tout était étrange, incompréhensible. James n’arrivait pas à comprendre pourquoi cette jeune demoiselle était si différente de tous ceux et celles qu’il avait eu le malheur de croiser sa route dans les dernières années. Les secondes passaient lentement, les deux êtres continuaient de rester là, figer dans le temps à s’observer sans mots. Ce fut la jeune femme qui ouvrit les lèvres la première. Brisant enfin ce cycle infernal qui s’était installée entre eux? Ses paroles étaient calmes et ses mots semblaient choisis à l’avance. Bucky sentait qu’elle craignait sa réaction ce qui était normal dans un certain sens. Marcia cessa de parler un bref moment avant de reprendre doucement la parole. Elle se voulait rassurante, mais James savait parfaitement qu’elle avait peur. Ce qui rendait la chose réellement étrange au fond. Malheureusement pour la jeune femme, un bruit sourd interrompit ce qu’elle était en train de dire. Automatiquement James dévia l’arme qu’il pointait sur la jeune femme pour la diriger vers la porte. Un mercenaire s’y trouvait. Bucky le savait bien. Marcia lui mentait depuis le début. Cet homme était venu pour l’attraper ou le tuer.

Au moment où le jeune homme allait appuyer sur la détente, la jeune femme se lança entre lui et le mercenaire en criant. Clairement cette situation n’était pas prévue. Les deux soldats s’observaient en silence. Aucun des deux n’avait encore appuyé sur la détente de l’arme. James ne tirait pas encore, car il réfléchissait à une manière de faire dévier la balle pour ne pas obligatoirement blesser la jeune mutante qui se trouvait directement devant lui. Aux yeux du jeune homme, cette demoiselle était réellement suicidaire. Il était impossible d’être saine d’esprit, mais d’être en même temps aussi conne ! Le mercenaire quant à lui n’avait pas encore ouvert le feu, car la jeune femme était devant sa cible et il avait pour ordre de ne jamais blesser une mutante qui pourrait être utile. Un nouveau bruit se fit entendre au loin, on aurait pu croire à un moteur de voiture, mais en fait on put rapidement discerner le bruit distinctif d’un hélicoptère en approche. Moins de dix secondes après cette réalisation la seule vitre de la pièce se fit détruire et une ombre plutôt massive fit son apparition. Lorsque la poussière fut retombée, on put reconnaitre le cousin de la jeune femme.

--- changement de personnage ---


Depuis le moment exact où sa cousine avait quitté le domicile familial un peu plus tôt, le jeune homme avait trouvé son comportement étrange. Chez quel ami pouvait-elle aller avec une telle somme d’argent ? Peu de temps après son départ le mutant avait reçu un message texte de l’un des mercenaires travaillant pour lui. Ce message lui confirmait ce qu’il pensait. Sa cousine allait encore une fois mettre sa vie en danger par stupidité. Sans plus attendre Ezio avait été se changer et il avait appelé plusieurs des hommes travaillant pour lui leur demandant de passer le chercher sur le toit avec l’hélicoptère. Sans plus de détail à son frère qui se trouvait au salon il était monté à l’étage et il avait ramassé quelques armes bien cachées avant de sortir par une trappe secrète menant au toit de leur immeuble. L’hélicoptère y était déjà, n’attendant plus que le jeune homme pour repartir dans le ciel. Alors que le jeune homme prenait place dans l’engin, son appareil mobile vibra de nouveau, le mercenaire lui envoyait à présent l’adresse ainsi qu’un numéro de chambre. À ce moment précis un léger sourire en coin était venu paraitre sur le visage du jeune homme, mais il disparut très rapidement. Ezio n’aimait pas réellement avoir à suivre sa cousine, mais à ce moment précis elle ne lui laissait pas le choix. Leur dispute qui avait eu lieu quelques jours auparavant avait laissé des marques. Marcia ne lui avait plus adressé la parole depuis ce moment précis.

Le jeune homme n’aimait pas vraiment sa famille au vu de tout ce qu’il avait subit dans son enfance, mais malgré tout il refusait de laisser une simple querelle faire en sorte qu’il pouvait risquer de perdre sa seule cousine. Elle pouvait agir en véritable démon parfois, mais après l’avoir remis à sa place leur relation finissait par se détendre. Cette fois cependant elle semblait réellement lui en vouloir ce qui était logique au fond. Ce fut peut-être pour lui prouver qu’il était bien intentionné au fond qu’il comptait intervenir dans sa sortie ou tout simplement, car il aimait bien la voir se mettre en colère contre lui. Le choix entre les deux options était réellement difficile pour le jeune homme. Le son de l’engin à moteur fit revenir le jeune homme dans l’instant présent. Il saisit la poignée de la porte et il la fit glisser pour qu’elle se ferme. Pour le moment la laisser ouverte était réellement inutile. Le silence régnait dans la machine, malgré leur lien pour le travail le PDG ne parlait que rarement à ses employés, et ce même en pleine mission suicide. Ils savaient tout ce qui devait être fait et ils savaient ce qu’eux avaient à faire le jeune mutant n’en voulait pas plus et il considérait que parler de leur intérêt et autre segment de leur vie était trop personnel pour être autorisé. Peut-être bien que les mercenaires engagés par le jeune homme parlaient de tout cela entre eux, Ezio n’en avait pas grand-chose à faire, mais tous savaient parfaitement que le silence était de mise en présence du patron. Le chemin entre le manoir des Luciani et le piteux hôtel où le soldat de l’hiver avait élu domicile fut assez court, mais Ezio fit signe au conducteur de faire des cercles autour de l’endroit. Il ne savait pas trop pourquoi, mais il sentait que le moment n’était pas le bon. Du moins pour le moment.

Ce fut un nouveau message de la part du mercenaire sur place qui fit en sorte que le jeune mutant eut une réaction. Ce message était bref, mais très explication. Ezio enfila une veste de saut et il y attacha une corde de bonne longueur avant d’ouvrir de nouveau la porte de l’engin à moteur. Le conducteur fit un demi-tour rapide et sans plus de douceur il se dirigea vers l’hôtel en question. Au bout de quelques secondes, le jeune mutant sans aucune parole sauta dans le vide. S’il avait bien fait ses calculs, il arriverait dans la bonne chance. Autrement ce serait une bonne histoire à raconter. La vitre éclata brillamment alors que le jeune homme posait les pieds sur le sol déjà jonché de déchets quelconques. Il évalua rapidement la situation avant de poser son regard clair sur le mercenaire qui se trouvait toujours là ou il y avait déjà eu une porte. Le jeune homme ne prononça aucune parole, le silence était entier. Le mercenaire eut un frisson de malaise avant de baisser son arme en silence. Il mit ensuite le tout dans son dos et il quitta la pièce sans aucune explication supplémentaire. Ce fut suite à cela que le jeune homme esquissa un léger sourire à sa cousine avant de se tourner vers le soldat.

--- changement de personnage ---


Le bruit de vitre cassé fit dévier l’attention du soldat l’espace de quelques secondes. James n’eut pas à regarder le nouveau venu très longtemps pour savoir de qui il s’agissait. Il avait déjà vu cet homme à plusieurs reprises et il n’était jamais seul. Normalement le soldat tentait de l’éviter, car il sentait au fond de lui que cet homme était un être mauvais. Non pas que Bucky en avait peur très loin de là, mais il savait que cet homme était tout comme la jeune femme présente dans la pièce une personne spécial. Il l’avait vu agir et il connaissait ses pouvoirs. James savait parfaitement que le ‘’venin‘’ que pouvait lui injecter cet homme risquait non seulement de le rendre particulièrement malade, mais cela risquait également de le tué. Il était un être humain après tout !

Un nouveau mouvement du soldat fit dévier l’arme en direction du nouveau venu qui réagit presque immédiatement. Ce fou se lança en direction du soldat comme s’il avait pour assurance de lui faire du mal. Un coup de feu ce fit entendre dans la pièce et un léger juron de fit entendre. James avait blessé le mutant. On pouvait voir un trou dans son épaule et du sang venait lentement tacher ses vêtements parfaits. L’homme avait cessé de bouger, comme s’il se concentrait à autre chose. Ce fut alors que, sans aucun préavis, James put assister à quelques choses auquel il ne s’attendait aucunement. Ezio avait simplement relevé une main pour déchirer le vêtement près de la blessure et il l’avait regardé. Puis, lentement, sans demandé ce qui lui revenait le flot de sans ralentit pour cesser complètement au bout d’une dizaine de secondes puis, lentement, la plaie se referma. Les tissus, muscles et tendons réapparaissaient comme si rien n’était arrivé. James n’en revenait tout simplement pas. Pourquoi les scientifiques n’avaient pas utilisé une telle magie sur son bras au lieu de le lui remplacer ? C’était à perdre l’esprit. Le mutant brisa alors le silence.

- Tu devrais partir avant que les autres arrivent James …

Comment diable cette erreur de l’humanité connaissait-il son prénom ? Le soldat eut un léger mouvement de recul sous le coup de la surprise. Il n’arrivait pas à y croire sur le coup. Son regard passa du jeune mutant à la jeune femme qui se trouvait toujours là. Elle semblait aussi surprise que lui de ce qui venait tout juste d’arriver. Les secondes passèrent rapidement puis sans plus Bucky rangea l’arme qu’il tenait au niveau de sa ceinture puis il se fit craquer les doigts. Sa voix se fit entendre brièvement.

- On règlera cela une autre fois …

Rapidement le jeune homme passa près de la jeune demoiselle sans aucun autre regard et il quitta la pièce. Le mutant quant à lui observa sa cousine un bref moment puis il ouvrit une nouvelle fois les lèvres.

- Tu iras à l’hôpital pour tes blessures … et on se revoit à la maison plus tard pour parler …

Sans attendre une réponse de la part de sa cousine, le jeune homme tira sur la corde qui était encore attachée à lui puis il sauta au travers la fenêtre. Les mercenaires dans l’engin le firent remonter puis l’appareil disparut sans plus. Impossible pour la chère jeune femme de savoir d’où son cousin venait, mais surtout impossible de savoir qui était avec lui. Que de questions pauvres Luciani !

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