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 La oscuridad es mi camino, las tinieblas mi trono, y tu agonía mi aliento [ft. Steve Rogers]

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MessageSujet: La oscuridad es mi camino, las tinieblas mi trono, y tu agonía mi aliento [ft. Steve Rogers]   La oscuridad es mi camino, las tinieblas mi trono, y tu agonía mi aliento [ft. Steve Rogers] EmptySam 12 Mar - 4:57


Cover your eyes, the devil inside
Steve Rogers & Loralei C. Moriarty



« Señora, tengo los ponchos más bonitos de Perú. Viene, viene aquí. Yo les doy uno por la mitad del precio. Señora, viene por favor. » Je ne lui répondais pas. Comme à tous les matins, depuis les deux dernières semaines. Oui, vous avez bien entendu. Deux semaines dans ce recoin perdu du Pérou. Pourquoi? Eh bien, c’est la même question que je me pose, en ce moment, alors que je marche vers le café du coin pour un bon expresso. Mon supérieur de la base de New York me dit qu’ils étaient à la recherche d’un certain Winter Soldier (je ne le connaissais que par son nom de code, vu que je n’avais pas accès à son dossier) et que, par pur hasard, il semblerait que le Capitaine America le recherche également. Ils ont donc demandé à ce que l’un des agents s’occupe de l’Avengers. Quoi de mieux pour me racheter de la catastrophe d’Ultron. J’acceptais sur le champ et, suivi de quelques recrues, je partis vers l’Amérique du Sud. Bien sûr, afin que ce très cher Steve Rogers s’y rende également, j’avais fait circuler une histoire comme quoi on avait aperçu un homme au bras bionique dans un village du Pérou. Je savais très bien que cet hameçon me ramènerait la proie que je voulais. Il fallut toutefois que je prépare le groupe à ce qui pourrait se passer. La poisse que d’avoir des parfaits idiots derrière moi. Heureusement, afin de mieux performer, j’éparpillais le groupe, donc certains à l’aéroport afin de me rapporter l’arrivée de Rogers. Cela pris deux semaines, disais-je donc, avant que l’ennemi ne pointe le bout de son nez. Comme prévu, il farfouillait les villes et villages aux alentours, mes jeunes recrues me rapportant toujours ces moindres voyages. Aujourd’hui était la journée que j’allais le confronter, car je savais ou il se rendrait. En effet, au Pérou, il y a toujours des cités découvertes, des vestiges de l’empire inca. S’il était intelligent (et oh, le sais-je, il l’était), l’homme se rendrait près du Machu Picchu, là où il serait facile à son ami de se cacher.

Me voilà donc sur sa trace, gardant une certaine distance, mais en le gardant toujours à l’œil. Je n’entends que mes pas, je prends le pouls de la ville, bruyante, grouillante de gens. Et voilà que le monstre se réveille, la première fois depuis notre arrivée ici. Ahh, mais c’est qu’il fait beau ici! Pour tout te dire, j’aime mieux ce climat. Est-ce qu’on déménage? Quel idiot! Il ne s’imaginait pas qu’on resterait au Pérou. On n’était ici que pour une mission, pour être bien vu aux yeux d’Hydra. L’humaine est offusquée à ce que je vois. Quel gâchis! Mais au moins, t’es plus aussi blême. Il avait raison sur ce point. Lorsque je suis arrivée au village, ma couleur de peau ressortait un peu trop dans la foule. Après une semaine, mon teint clair avait pris de la couleur. Bon, tu vois, il suffit de voir le positif. Allais-t-il se taire, celui-là? Moi, me la fermer? Jamais! Je m’amuse bien trop à tes dépends. J’étouffais un grognement lorsque je reçus un message d’une des recrues m’avisant que Rogers avait pris un autocar pour se rendre aux sites archéologiques. Merde! Je l’avais perdu de vue à cause de Lui. Tu n’as que toi-même à blâmer. T’as juste à être plus attentive. Je l’entendis rigoler et je savais qu’il avait raison. J’entrepris donc trouver un autocar et de poursuivre ma proie. Trente minutes plus tard, je me retrouvais dans un recoin du Pérou que je n’avais pas vu. Pas de touristes, pas de paysans, simplement du vert, le paysage qui prenait le dessus. Et le capitaine, non loin, en train d’inspecter chaque recoin. Les cités étaient abandonnées, cela me permit de me trouver un coin où me cacher. Quand est-ce qu’on le tue? Il souffre, il veut voir son ami. Ça me donne faim. Et maintenant, j’avais la rage se soulevait doucement en moi. Mais Hydra le voulait en vie. Nogi n’allait pas être content. Je passerais probablement les prochains jours comme une droguée … comme toujours.

© ACIDBRAIN
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MessageSujet: Re: La oscuridad es mi camino, las tinieblas mi trono, y tu agonía mi aliento [ft. Steve Rogers]   La oscuridad es mi camino, las tinieblas mi trono, y tu agonía mi aliento [ft. Steve Rogers] EmptyMer 16 Mar - 3:01


La oscuridad es mi camino


Lora&Steve


« Sam…reprend ton souffle et explique moi tranquillement cette fois ci » brisait ma voix tendis que je déposais mon café sur la table de mon bureau, fermant l’ordinateur pour donner toute ma concentration à mon ami. Wilson semblait lui-même perdu dans ses explications, un truc de cousin, d’ami, de cousine, de frère, de copain de soccer, de chef de gang, bref une histoire sans queue ni tête. Il prenait une grand expiration, me laissant plisser les yeux et appliquer la paume de ma main sous mon menton, sentant ma barbe naissante qu’il me faudrait bientôt raser.

« Okay, ils ont apperçu Bucky à Santa Teresa, puis dans les environs de Machu Picchu, il se promène dans les environs depuis des semaines. » dit-il plus calmement me faisant relever la tête. « la source est […] » « […] non, justement, on à rien niveau photo que des paroles. Donc je voulais te le dire, mais je doute que ça soit logique de se déplacer là-bas si on a rien de plus. » me coupait Sam en croisant ses bras sévèrement. Il savait à quel point il était important pour moi de tout connaitre sur Bucky, ses moindres déplacement, pour qu’on puisse enfin le retrouver et l’aider. Je me relevais du bureau pour rejoindre notre carte et y ajouter deux fil rouge touchant l’Amérique du sud. C’était logique qu’il se déplace là-bas s’il ne voulait pas être retrouvé, je ferais pareil si j’étais lui, c’était le meilleur endroit pour simplement disparaître. J’admirais d’un œil distant chaque point où il avait été aperçu avec les quelques images de sa personne, jamais rien de très clair, où si c’était le cas nous l’avions eu beaucoup trop tardivement pour le retracer. Une main se déposait sur mon épaule, me faisant relâcher un lourd soupire, Sam me regardait avec compassion. « Il ne peut pas être bien loin Steve. S’il y a une chance qu’il soit là-bas je le trouverai, je prendrai l’avion dans une heure si tu me le demande, ne laisse pas tomber. » Je ne répondais pas, les bras croisés et le regard perdu dans la cartographie d’un homme perdu que j’avais devant moi, je restais très neutre. Il savait que je n’abandonnerais pas mieux que quiconque, mais il se doutait que je commençais à me fatiguer de la situation, surtout aux vues des autres problèmes que nous avions eu dernièrement. Nous avions des problèmes avec Stark, en plus du gouvernement qui faisait des rumeurs d’une nouvelle loi, si cela n’ajoutais pas à un stress constant qui faisait rage en moi je ne savais pas ce qu’il en serait. Cette journée allait être très longue, je le sentais déjà, j’hésitais entre suivre mes instinct ou attendre que d’autres informations entre en compte pour me décider. Sam avait raison, je devais attendre encore un peu, comme il était prêt avant moi il allait prendre l’avion ce soir de son côté. Comme ça on allait savoir ce qu’il en était des rumeurs avec le cœur net. Je retournais donc à mon bureau, ouvrant l’ordinateur, soupirant en voyant que Natalia voulait me rejoindre.

« Courage Steve. » dit mon ami. « Met la sur une fausse piste, je me charge du reste. » Il avait raison, nous ne pouvions laisser l’information sortir, surtout pas auprès de ma collègue espionne. Elle n’approuvait pas les recherches, même si elle nous avait aidée au début, la donne avait changé depuis les attaques d’Ultron. Je la comprenais, les menaces auxquels nous faisions face étaient plus important que des recherche d’un fugitif qui faisait tout pour que personne ne le trouve. Pourtant, je refusais de laisser un autre le trouver à ma place, une crainte en moi me disait qu’ils jugeraient mon amis pour des crimes dont il n’était que partiellement coupable. Je ne pouvais pas les laisser faire, je ne pouvais pas laisser Bucky être juger pour ce qu’HYDRA l’avait forcé à accomplir, je devais le protéger, car il m’aurait protéger moi.

« Où est Wilson? » demandait la rousse en tortillant ses doigts dans ses  cheveux. Je restais silencieux, les bras croisés, regardant l’entrainement des nouveaux Avengers en cours. Mon téléphone n’avait pas vibré de la soirée, j’attendais encore la confirmation de Sam, juste pour m’assurer qu’il était atterrit en sécurité. J’avais eu la tête ailleurs, incapable de me concentrer totalement, Natasha n’avait pas manquée de l’observer avec son œil de lynx. Je ne répondrais pourtant pas à ma collègue, même si cela risquait d’agrandir sa curiosité, il serait trop tard quand elle trouverait la solution. Je préférais que personne ne me suive si j’étais pour partir, le silence était donc mon meilleur allié. Finalement mon téléphone vibrait dans ma poche, je le pris aussitôt pour y lire les quelques mots de Sam, il venait de rejoindre notre témoin. J’avais hâte de connaître la suite, je passerais le reste de cette soirée très distrait, personne dans cette pièce n’allait réussir à me ramener sur pied. Je quitterais comme dans mes habitudes après tout le monde, m’assurant de remettre la salle d’entrainement en ordre, puis j’embarquerais sur ma moto pour aller en direction de la maison de Sam au lieu du manoir des avengers.

Fermant la porte derrière moi, je ne craignais pas que quiconque m’ayant suivit devait d’être perdu dans mon sixième tour du bloc. On était jamais assez sûr de nous quand on cachait un secret aussi important que celui là. Enfaîte de tous mes collègues celui que je craignais le plus était Stark. Étrangement, sans pouvoir vous expliquez pourquoi, je sentais que nos querelles de ces derniers jours n’étaient pas seulement liés aux brèves discussions que nous avions eu sur le sujet de la nouvelle loi qui allait très bientôt passer. Je dirais même que c’était beaucoup plus compliqué qu’il n’en paressait, nous avions déjà été en chamaille, mais ça avait tendance à déraper dernièrement. Je craignais la suite, autant cacher tout ce que j’entreprenais à l’homme de métal, gardant le secret auprès de tout le monde au risque qu’on commence à s’imaginer des rumeurs sur ma personne. Je prenais le téléphone et commençait à discuter avec Sam de la marche à suivre. Son informateur avait donné des preuves que l’on pouvait croire selon lui, des photos, beaucoup de témoin, au final c’était plus que du bouche à oreille. Je préparais donc ma valise pour prendre l’avion dès cette nuit, le plus vite je me déplacerais, le moins de chance mon équipe aurait à me retrouver. Il fallait de toute façon retrouver James à tout prix, le connaissant s’il était là-bas il bougeait déjà, on devait faire vite. Ma valise terminé, je confirmais les plans avec Sam, de son côté il reprendrait l’avion pour se rendre en Europe, se promènerait un peu en France et en Italie avant de revenir chez lui. Il avait été suivit, il serait donc la distraction dont j’avais besoin pour me rendre en subtilité vers la source. Je sortis de la maison de Wilson en prenant sa voiture vers l’aéroport, laissant ma moto dans le garage, craquant mon cou lors du trajet en me disant que ça allait bien mal finir. Stationnement, validation de billet et me voilà dans le premier avion disponible vers le Pérou. Les heures allaient être longue, mais j’avais plusieurs messages de validation confirmant que notre distraction avait fonctionné. Je recevais un dernier message de mes collègues et disait dormir chez Blackwood pour la nuit. Bien sûr ils pourraient démentir cela avec une grande facilité, mais les quelques secondes que je gagnais me satisfaisait amplement, je fermais officiellement mon téléphone et le rangeais dans mon sac de transport. Ils ne pourraient plus me traquer passer l’aéroport.

Deux semaines de recherche et rien. J’avais fais le tour de toutes les sources, les villages, les témoins, les moindres détails avaient été écartés jusqu’au tout dernier. Il ne restait que les ruines de Machu Picchu, mais l’espoir n’était pas présent, ma marche se faisait plus lente pour la première fois en quatorze jours. Regardant l’horizon, j’observais non pas le magnifique paysage sous mes yeux, mais les lieux qu’il me restait à fouiller. J’enlevais mon sac à dos, le déposant à mes pieds, sortant une bouteille d’eau de celui-ci. Expirant fortement, mes sens furent soudainement en alerte, me retournant brusquement derrière moi. Rien…Je ne prendrais pas de risque, touchant mon sac du bout des doigts je le jetais au loin avant de me jeter d’un étage, atterrissant les deux pieds sur la pierre fragile d’une ancienne maison. Je rejoignais rapidement un groupe de touriste, me mêlant à la foule, je regardais pour voir si quelqu’un viendrait se joindre à nous. « Êtes vous capitaine America? » demanda la voix d’une enfant qui tirait sur mon pantalon. Je souriais bêtement. « Non, désolé. » soufflais-je avant de me déplacer un peu plus loin. Pas le temps d’être sensible, je prenais mon téléphone et l’ouvrait pour la première fois en deux semaines. Les messages s’accumulaient rapidement à mon oreille jusqu’à ce que j’entende la voix de Sam « STEVE, ou es tu?! Écoute moi bien…c’était un piège. HYDRA t’a séparé du reste des avengers, dis moi où tu es maintenant que je te rejoigne, c’est […] » je fermais le téléphone. Je tenais mon sac fermement dans ma main, mon bouclier était dans celui-ci, mais j’avais un fusil à la ceinture. La question désormais était…qui est HYDRA?
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MessageSujet: Re: La oscuridad es mi camino, las tinieblas mi trono, y tu agonía mi aliento [ft. Steve Rogers]   La oscuridad es mi camino, las tinieblas mi trono, y tu agonía mi aliento [ft. Steve Rogers] EmptyDim 20 Mar - 3:49


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Steve Rogers & Loralei C. Moriarty



Pourquoi tu te caches? N’es-tu pas celle qui chasse? Oh, Nogi, on voit que tu ne sais pas ce que c’est qu’être humain. Tous ne peuvent pas être une entité invisible comme toi. Pour la plupart d’entre nous, il fallait être prudent, mesquin, afin de tomber juste au bon moment sur la proie. Patience, mon cher. On l’aurait très bientôt. Tiens, justement, le bon Capitaine se retourna, en proie à un pressentiment d’être suivi, fort probablement. Heureusement, de là où j’étais, il ne me voyait pas. Cela me permit de continuer à avancer, dans un premier temps avec la foule. J’entendis les gémissements piteux d’une gamine demandant à Steve s’il était le Capitaine. Le fait qu’il lui dise que non me fit presque ricaner de rire. Il se mit à l’écart du groupe et j’en profitais pour faire comme si je continuais à prendre des photos du joli paysage. Se tenant ainsi, à la lumière, je pus comprendre ce pourquoi les idiots le voit comme un héros. Il a, certes, le corps d’Hercules, mais sincèrement, il ne vaut pas mieux que n’importe quel autre abruti. Et puis gosh, les couleurs du drapeau américain, vraiment? Il n’avait pas trouvé mieux? De me remémorer son costume me donnait presque envie de vomir. Il est fidèle à son pays, ce qu’on ne peut pas dire de toi. J’avais quitté l’Angleterre pour vivre ici non par choix, mais par devoir. Nogi n’avait toutefois pas tort. Je sentais parfois le besoin fou de prendre une semaine de vacances et de partir à la dérive, de découvrir un pays qui m’a vu naître mais dont les souvenirs ne sont que brume dans un ciel gris. C’est aussi pour cela que le Pérou m’irritait beaucoup, avec ses températures insupportables et les gens qui sont bien trop heureux. J’aime la froideur de la pluie, mais la chaleur des rayons du soleil. De toute manière, tu es froide de nature, alors à quoi bon? Cela me fit sourire. Il avait raison … après tout, c’est lui qui m’a vu grandir. Il sait qui je suis devenue, qui se tient là, qui s’apprête à s’attaquer à un Avengers. Bon, maintenant qu’on est sur la même onde, est-ce qu’on passe à l’action ou pas? Encore quelques minutes, j’attendais une ouverture, un moment opportun. Et je l’obtins, alors qu’il prit son cellulaire et se mit à pianoter dessus. Je passais sous silence radio, plaçant plutôt une oreillette Bluetooth qui me permit d’amplifier les sons de la voix de Steve, mais également de la personne à l’autre bout du fil. Je ne perçus pas toute la phrase, mais j’entendis les mots clés, c’est-à-dire, piège et HYDRA. Bon, bah maintenant, l’effet de surprise était perdu. Ou peut-être pas, si jamais je voulais réellement encore lui sauter dessus comme un chat. Cependant, sa réaction me fit comprendre que j’allais devoir abandonner tout espoir d’embuscade. En effet, l’homme ferma son appareil et attrapa son sac fermement. Il avait probablement une quelconque arme dans son sac … ou alors non, car scrutant mon ennemi, j’aperçus son fusil à sa ceinture. Tu t’es mise dans une situation plutôt amusante, ma chère. Comment vas-tu faire pour le surprendre? Il n’y avait une chose dont j’étais encore sûre; il ne savait pas que j’étais HYDRA. Et, le connaissant bien, il y avait bien trop de touristes ici pour qu’il s’attaque à moi. Allais-je révéler qui j’étais? Continuerais-je à jouer les idiotes? Ce fut Nogi qui choisit pour moi, car il était exaspérer du jeu du chat et de la souris. Mes yeux devinrent noirs; le monstre avait pris le dessus le temps d’un instant. Ce fut suffisant pour que la même fillette qui avait auparavant remarqué la présence de Steve ne se mette à crier. Le guide qui se rapprocha me vit et s’écria « Xibalba! » Je m’étais assez informé pour comprendre que ce mot signifiait le monde des morts. Déçu du manque de respect qui lui était dû, Nogi poussa l’homme avec son pied, ce qui eut comme répercussion de le projeter jusqu’à un arbre non loin. Voilà, je crois que le message était passé. Tu tournais en rond. Maintenant, t’as fait ta grande entrée, ne me remercie surtout pas.

© ACIDBRAIN
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MessageSujet: Re: La oscuridad es mi camino, las tinieblas mi trono, y tu agonía mi aliento [ft. Steve Rogers]   La oscuridad es mi camino, las tinieblas mi trono, y tu agonía mi aliento [ft. Steve Rogers] EmptyVen 8 Avr - 2:04

...
J’aurais du rester un peu plus loin finalement. Quand on s’attend à HYDRA on ne s’attend certainement pas à ça. Cette créature créa une frayeur en mois lors de quelques secondes, tendis que mon regard se pétrifiait sur celui-ci, faut croire qu’HYDRA n’avait pas été tranquille ces dernières années au final. Si Wilson avait raison, si ce monstre était avec eux, c’était un très mauvais signe pour le SHIELD. Sans que je puisse bouger, la panique pris les touristes, le guide quand à lui eu droit à un vol plané totalement gratuitement. J’ouvrais frénétiquement mon sac pour empoigner mon bouclier, il me fallait revenir sur mes pas et nous élloigner des gens, j’avais eu la pire idée du monde en sautant vers le public. Pourtant je savais qu’il ne fallait jamais emmener HYDRA dans la foule, mais lors d’une seconde j’ai cru que peut-être cela aurait pu être lui. Pas HYDRA, mais tout comme, il n’aurait pas ouvert le feu au milieu d’innocent même complètement effacé. Ce n’était pas Bucky, ce truc, c’était autre chose. « Hey! C’est moi que tu veux? » Dis-je avant de lui lancer mon bouclier en pleine gueule. J’avais calculer un effet de ricochet qui fut efficace alors que le disque allait frapper de plein fouet mon adversaire avant de me revenir avec mon gant aimanté. « Si tu me veux faudra que tu les laisse tranquille » m’écriais-je en croisant mon regard dans…enfin…je ne savais pas trop ce que c’était.

Les touristes allaient enfin finir par partir rapidement, cachés un peu partout, mais essentiellement nous avions une pleine de deux mètres de largeur juste pour nous. Si on tombaient on aurait une chute de six mètres avant de tomber au sol, ce une dizaine de fois, les joies d’être dans le cœur d’une montagne. Je sortais le fusil que j’avais à la taille, mais ne l’armait pas toute suite, d’une façon j’avais espoir que le monstre se calmerait de lui-même. J’avais combattu les chitauris, qu’était un alien supplémentaire contre des milliers de ces truc humanoïde? Bouclier en main, bien collé contre l’aimant installé dans mon gant, fusil dans l’autre je me plaçais prêt à combattre pour donner une chance aux gens de s’enfuir. J’aurais du rester en haut, en haut c’était le désert platonique, pas un chat sur des kilomètres.

« T’es pas du genre bavard toi… » mes jointures craquaient, mon cou aussi, je me préparais à faire une bonne course quelques dizaines d’étage plus haut en espérant que personne ne s’était pointé entre temps dans le lieu précédent.  La chose semblait être là pour moi, sinon je m’enflais peut-être la tête, mais étrangement j’avais un assez bon karma pour être sa cible. C’est foutu pour trouver Buchanan aujourd’hui je crois. J’espérais intérieurement que Wilson s’en viennent et me dise que tout cela n’était qu’une bonne blague. « Aller, tu n’as rien à dire avant de perdre? » la confiance en moi-même ça avait toujours été mon truc.

(c) AMIANTE
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MessageSujet: Re: La oscuridad es mi camino, las tinieblas mi trono, y tu agonía mi aliento [ft. Steve Rogers]   La oscuridad es mi camino, las tinieblas mi trono, y tu agonía mi aliento [ft. Steve Rogers] Empty

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