Ready to fight ? Maybe sweetheart - Peter&Cassandra

Peter J. Quill ∞ Cassandra Hack

L

a Terre .... Aaaaah cette bonne vieille planète bleue que Quill n'avait pas vu depuis 26 ans ... 26 ans déjà !? Wow comme le temps passait vite c'était complètement dingue. Il avait visité plusieurs autres mondes, planètes et vu plusieurs races extra-terrestre. Quel Terrien n'avait jamais rêvé de voyager à travers les étoiles ? Quill l'avait fait, peut-être qui l'avait fait trop tôt ou contre son gré au départ vu que ce n'était qu'un enfant, mais il était plus que satisfait de la vie qu'il avait menée. Surtout depuis qu'il avait sortie des griffes de Yondu et de son groupe de hors-la-loi appelée les Ravageurs. C'était eux qui l'avait enlevé sur Terre et qui l'avait même élevé. Depuis que Quill avait son propre groupe dans son propre vaisseau sa vie était encore meilleure. Le petit groupe qui se proclamait les Gardiens de la Galaxie avaient tout de même sauver une planète entière ... Ce n'était pas rien cela. Et s'ils se trouvaient sur Terre maintenant, ce n'était pas par plaisir. Star-Lord croyait que Thanos allait de nouveau s'en prendre à planète d'origine. Thanos l'avait déjà attaqué et semblait bien intéressé par cette planète bleue. Pourquoi ? Quill ne le savait pas, mais il comptait bien le découvrir et l'arrêter une fois pour toute cette fois-ci. Alors que les autres n'avaient pas une apparence humaine, ils devaient rester le plus possible à bord du vaisseau ainsi que de survoler la planète au contraire de Quill qui lui, pouvait réellement séjourner sur la planète bleue. Quel plaisir de rentrer à la maison ! Eeeeuh, en réalité non, c'était très bizarre et différent des autres planètes qu'il avait vu durant sa vie.

Le hors-la-loi était dans la grande ville de New-York. Ville qu'il n'avait jamais vu avant. C'était plutôt grandiose avec tous les grattes ciels qu'il y avait même si certains quartiers pauvres faisaient très minable et pitié. Enfin, pour Quill, cette ville là ne l'impressionnait pas du tout, lui qui avait vu tant de merveille extra-terrestre. Autrefois quand qu'il était gamin, il aurait peut-être été émerveillé, mais là non ... Star-Lord avait vu tant de belle chose que rien sur Terre l'impressionnait. La planète bleue faisait pâle figure au côté des autres planètes niveau technologie. Enfin, les Terriennes étaient à croquer ça c'est vrai. Juste pour ça, cette planète valait le détour. L'ancien ravageur s'était amusé à coucher avec toutes les races -bien sûr féminin hein- qu'il avait croisé même une avec des tentacules ... Bref, le soleil était couché et c'était bien sûr, la lune qu'on voyait à la place et qui était même pleine. Oooohhh faites attention au loup-garou! Quoi ça n'existe pas ? On ne sait jamais, les extra-terrestres et les dieux ça existe quand même ...

Alors qu'il avait visité un peu le Manhattan le jour, Quill se retrouva dans le Bronx le soir venu. Plusieurs personnes auraient dit que ce n'était pas trop une bonne idée d'aller là-bas une fois le soir venu, mais Peter s'en fichait. De toute façon, il savait très bien se défendre et ce n'est pas un petit gang de rue Terrien qu'il lui ferait peur. Il avait connu bien pire, beaucoup pire que ça. Et puis, on disait que c'était beaucoup moins pire qu'il y a plusieurs années le Bronx. Donc bon, de toute manière, Quill aimait toujours ce foutre dans les embrouiller et foutre la merde. Hey ouais, le hors-la-loi aimait bien se battre. C'était normal, il était criminel depuis sa tendre enfance, depuis que Yondu l'avait enlevé de la Terre et qu'il l'avait formé à être un Ravageur comme lui. Seulement, Quill en avait eu assez et avait voulu voler de ses propres ailes. Faire ses propres coups et avoir plus d'argent que ce que Yondu lui donnait. Finalement, à la place de devenir riche, Star-Lord avait agi en véritable héros en sauvant une planète avec sa nouvelle famille. Quill était quelqu'un de bien, mais ce n'était pas un véritable héros non plus ... Il recommencerait à faire ses conneries n'importe quand et à voler, mais Peter protégeait la vie des autres. Il ne voulait jamais mettre quelqu'un en réel danger. En se promenant, Quill vit un petit bâtiment, qui était éclairé à l'intérieur. Cela avait l'air d'un petit bar plus ou moins miteux. Tiens, si Peter allait voir à quoi ressemblait un bar Terrien ? De toute façon, fallait qu'il attende que Thanos se montre et a priori, il n'allait pas se montrer encore ce soir ...

Une fois dans le bar, Quill pris place au bar et commanda un verre de vodka. Il allait presque commander un verre qui n'existait pas sur Terre ... Par chance, il avait entendu un type grassouillet commander ce verre juste avant lui. Il buvait son verre ... et trouvait ça dégoutant au premier goût! Beurk, c'était quoi cette merde ? L'alcool était bien mieux dans l'espace que .. ça ? En espérant que les hamburgers n'aient pas changés de goûts parce que sinon ... La deuxième gorgée fut bien meilleur et ensuite, c'était encore mieux. Comme si Quill s'était déjà habitué au goût. Lorsque le hors-la-loi avait fini son verre, il le déposa brusquement sur le comptoir et s'exclama. « Un autre et tout suite. » Le barman obéissait et Quill recommença. Recommença quatre autres fois avant de commencer à être un peu étourdi. Il commençait à sentir les effets de l'alcool. Bon et bien c'était maintenant l'heure de dégager. Alors que Peter était sur le point partir. « Heeey toi, le mec avec la veste brune. Il faut que tu paies. » S'exclama le barman un peu sur les nerfs. Quill se retourna vers lui pour le regarder. « Un mec à l'entrée m'a dit que c'était gratos, donc ... » Bien sûr, personne ne lui avait dit que c'était gratuit, mais Peter n'avait pas d'argent du tout. Du moins, pas d'argent Terrien sur lui. Alors qu'il continua sa route pour sortir du bar, il alluma son walkman et mit ses écouteurs. Il écoutait une chanson du film Footlose avec son héros le grand Kevin Bacon. Maintenant qu'il était à l'extérieur, deux hommes sortaient du bar pour régler le compte à Peter. Sans doute des videurs ou bien des bons clients qui voulaient aider le barman, qui ne pouvait bien évidemment pas quitter son poste. Le hors-la-loi regarda les deux Terriens en commençant à danser puisqu'il écoutait une de ces bonnes chansons. Il suivait le rythme. « Vous voulez danser avec moi ? D'accord allons-y! » Il frappa en plein visage le premier homme qui était plus prêt à lui alors que l'autre s'apprêta à le frapper, Quill activa son casque de métal, qui protégeait son visage donc, le Terrien toucha le métal de son casque qui lui fit très mal. L'ancien ravageur se propulsa de quelques mètres dans les airs grâce à ses bottes spéciaux, pour donner un grand coup de pied en plein visage du deuxième qui tomba en faisant une pirouette sur l'asphalte. Quill remit ses pieds au sol et désactiva son casque en recommençant à suivre le rythme de la chanson. Alors que le premier homme se relevait, Quill était prêt à continuer à se battre, mais celui-ci décida de prendre la fuite. AAAAAAAH les Terriens, mais quel lâche. Donc, le hors-la-loi continua sa route en dansant et même en chantant. Seulement, il ne se doutait pas quelqu'un aurait pu voir la scène et qui pourrait le suivre ainsi même, peut-être s'attaquer à lui.

Ready to fight? Maybe sweetheart.

Rien de plus exaspérant que d’être à la bibliothèque, en train de ranger des livres, alors qu’il fait beau à l’extérieur. Pourquoi n’avais-je pas pris congé pour profiter de la ville, pour une fois. Oui, malgré mon côté sombre, j’ai tout de même une appréciation pour New York et pour Central Park, surtout. Hélas, ma journée n’allait pas être des plus palpitantes, en ce beau mardi. Ce qui ne veut pas dire, que je n’ai pas eu bien des clients aujourd’hui, au contraire. J’ai eu droit à tout; la mère qui cherche frénétiquement des livres sur les dinosaures pour son fils qui doit faire une présentation orale ainsi qu’un homme plutôt louche à la recherche de comics pornos. Ce dernier m’avait même fait les yeux doux. Croyez-moi quand je vous dis que si un regard tuait, le mien l’aurait mitraillé jusqu’à la moelle. Malheureusement pour moi, je n’étais pas sur mon terrain. Il faut dire que si ma patronne me verrait en train de zigouiller un client, elle me renverrait sur le champ, en prenant bien soin d’en avertir la police avant. J’aurais ainsi très peu de chance de m’échapper aux autorités pour une énième fois.

La journée au travail passa ainsi à petits pas. Je partis manger et laissait ma collègue s’occuper des nouveaux arrivants. Puis, lorsque je finis, ce fut à son tour. J’en profitais pour aller ranger des nouveautés et surpris l’homme de tout à l’heure en train de tripoter une jeune femme qui, à son visage, ne semblait pas enchanter de ce qu’il faisait. Je compris alors qu’il tenait un petit couteau aux côtes de la pauvre victime. Je jouais donc le jeu de celle qui ne voyait rien et qui cherchait la bonne rangée. Puis, je me jetais sur lui tel un fauve sur sa proie. Je le plaquais sur le mur, pris son couteau et le brandis juste devant lui. Je pris d’abord soin de dire à la fille de déguerpir au plus vite avant de m’adresser à l’idiot de service. « Tu sais, il faut du culot pour faire de telles conneries dans une bibliothèque. Surtout quand il y a le bar de strip-tease deux rues plus loin. » Il niait tout. Moi, sourire en coin, je lui rétorquais : « Écoute-moi bien, pauvre connard. Tu vas partir d’ici et ne plus jamais y mettre les pieds. Sinon, j’ai le contact d’une certaine Slash. Je suis sûre qu’elle serait enchantée de te montrer de quel bois elle se chauffe. » Je savais très bien qu’il reconnaîtrait ce nom. Dans les rues, ces derniers temps, mon nom de code s’était mis à circuler très rapidement. Juste à en voir la peur qui se lisait dans les yeux du goujat, il avait reconnu le nom. Sans prononcer un seul mot, il hocha de la tête puis, lorsque je lâchais ma prise, parti en courant. Ah, c’est ça, court! Je ne pouvais que me réjouir des petites victoires, puisque mon alter-ego n’existait que sous l’ombre de la nuit. Je finis ensuite ce pourquoi j’étais venu, c’est-à-dire, ranger les livres que j’avais laissé non loin de là. Je redescendis par la suite et me rendit à la réception afin de finir le restant de mes heures de travail sans la moindre embrouille.  

Je n’eus plus d’autres surprises de ce genre jusqu’à 18h. Je finis donc ma journée à la bibliothèque en saluant mes collègues avant de partir pour mon petit appartement, en prenant soin de prendre, au passage, quelque chose à manger au thaïlandais non loin de chez moi. Une fois bien installée sur mon canapé, j’allumais la télé et mangeais. Rien de mieux pour relaxer avant que le vrai travail ne commence. Je regardais toujours les nouvelles en premier, question de voir s’il y avait un criminel hautement recherché. Toutefois, en cette belle soirée, il ne semblait avoir personne de vraiment dangereux que la police souhaitait attrapé. Il fallait donc que j’y aille à la bonne vieille manière; la surveillance sur les toits et rues. Ce n’était pas ma manière préférée, car je me sentais toujours en désavantage, surtout si je voulais attaquer mes ennemis par surprise. Mais, puisque je n’avais pas d’autre choix …

Je m’habillais donc en conséquence, prenant bien soin de prendre mon sac à dos pleins d’armes ainsi que ma veste à capuche, question de pouvoir cacher mon visage. Je jetais les restants de nourriture dans la poubelle et hop, direction le Bronx. L’endroit parfait pour trouver le danger.

Cela me prit quelques minutes avant d’arriver dans le coin de la ville un peu plus … louche. Il y avait pleins de gangs partout, et cela ne me rassurait pas d’être là. Je ravalais toutefois ce sentiment d’inconfort pour ne pas avoir l’air faible. Ma promenade ne dura pas plus de 30 minutes, avant que je ne trouve un rassemblement d’hommes devant un bar. Ahh, l’endroit parfait. Il fallait simplement que je trouve un recoin où me mettre en attendant que l’un d’eux parle. Je me baladais donc jusqu’au bar, et sans que personne ne remarque, me cacha dans un coin assombri tout près de l’édifice. Je fis semblant de fumer afin que personne ne croit que je suis là pour espionner qui que ce soit. Une heure passa sans action. Beurk! Allais-je vraiment passé toute une soirée à attendre sans qu’il y ait quoi que ce soit ? Ma bonne étoile me sourit lorsque je vis un homme au manteau rouge sortir du bar. Il semblait bien trop occupé à écouter sa musique pour voir deux hommes s’approcher de lui d’un air plutôt menaçant. Qu’est-ce qu’il avait fait, celui-là, pour que deux gorilles le suive? Je me préparais à l’aider lorsqu’il s’adressa aux deux hommes d’un ton moqueur. Quoi? Le spectacle qui s’offrit à moi par la suite serait digne des films de star wars. L’inconnu démarra la bagarre en frappant l’un des hommes en plein visage, avant de faire apparaître, sans que je comprenne comment, un casque de métal sur son visage … sur sa tête, m’enfin … je suis restée bouche-bée. Ce casque le protégea de l’attaque de l’autre homme et, encore une fois devant mes yeux béants, il se propulsa en l’air pour asséner un coup de poings au deuxième attaquant. Il remit ses deux pieds sur Terre, puis recommença à danser. Mais mais … comment? Même moi au combat je n’avais pas l’air du tout à l’aise.

Je me secouais alors la tête, en voyant l’inconnu doucement quitter la scène de ce combat étrange. Si l’homme du bar avait envoyé les gorilles derrière lui, c’est qu’il y avait probablement une raison. J’allais devoir l’interroger … mais pas de la manière douce. Il n’allait rien me dire ainsi. Je sortis donc ma batte fétiche et m’approchait de lui par derrière. « Eh oh, on t’as jamais dit de te battre avec quelqu’un de ta taille? » Ouais, bon, je n’étais pas de sa taille, mais peu importe. Prenant un élan, je sautais vers lui, batte en plein mouvement, prête à commencer un nouveau combat. Je priais très fort pour que je ne finisse pas comme les deux hommes par terre.

crackle bones